Juan José Millás: escenas de metaficción
Une approche métafictionnelle de l'œuvre du romancier espagnol Juan José Millás.
Comment un écrivain apprend-il à écrire ? Quels sont les rituels de l'écriture ? Comment un écrivain transforme-t-il en figures de fiction sa propre formation en tant qu'écrivain ? Telles sont les questions auxquelles Germán Prosperi tente d'apporter une réponse à partir d'une étude minutieuse de l'oeuvre de l'écrivain espagnol Juan José Millás.
Germán Prosperi enseigne à l'Université de Santa Fe (Argentine) en tant que professeur titulaire. Il est un spécialiste reconnu de littérature espagnole contemporaine.
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Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contemporaine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.
On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977) et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.
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X. Escudero, N. Noyaret, P. Peyraga (Éds.)
Soupçonnant le réalisme d’être beaucoup plus complexe et opaque qu’il n’y paraît, d’être capable de se redéfinir et de se réinventer avec chaque époque pour mieux bouleverser alors notre vision et notre compréhension du réel, les chercheurs de la NEC+ se sont proposé ces dernières années d’observer l’évo-lution et les diverses manifestations du réalisme dans le cadre de la fiction narrative espagnole des XIXe, XXe et XXIe siècles.
Aussi nous livrent-ils ici une vingtaine d’études embrassant un large éventail d’écrivains (Emilia Pardo Bazán, Leopoldo Alas, Vicente Blasco Ibáñez, Pío Baroja, Rosa Chacel, Ana María Matute, Elena Quiroga, Alfons Cervera, Fernando Aramburu, Francisco Umbral, Marta Sanz, Cristina Morales, Pablo Gutiérrez, José Ovejero, Elvira Navarro, Gustavo Martín Garzo, Juan Bonilla, Juan Jacinto Muñoz Rengel, Alejandro López Andrada, Juan Marsé et d’autres encore) dont la « veine réaliste » est chaque fois questionnée ou repensée.
Autant d’études, et une réflexion collective, qui prennent ap-pui sur le précieux éclairage apporté par Geneviève Champeau sur « quelques clichés sur le réalisme » et sur le passionnant témoignage des écrivains Isaac Rosa et Marta Sanz, enclins à se demander si le réalisme est toujours une représentation du réel.
Auteurs : D. Becerra Mayor, S. Benneouala, B. Cerdá Zanar, E. Chipi, D. Crémaux-Bouche, M. Delannoy, E. Diaz, C. Di Benedetto, G. Dubois, X. Escudero, L. Freda, M. García-Farré, D. García-Ponce, L. garino-Abel, A. Godoy Cossío, M. Gourgues, A.S. Gullo, C. Mena, N. Noyaret, I. Rosa, P. Peyraga, J.R. Precioso, M. Sanz, V. Tettamanti.
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