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  • PORTRAIT ET...

    N. Noyaret, G. Palomar (eds.)

    Le portrait et l’autoportrait sont des éléments constitutifs de la fiction et de la mise en place des personnages. Ils peuvent donner à voir ou laisser une part d’ombre, et, tout en s’offrant comme une copie de la réalité, ils sont aussi un instrument de manipulation de celle-ci. Aussi les chercheurs de la NEC+ se sont-ils interrogés sur la place qu’occupe le portrait ou l’autoportrait dans le vaste champ de la fiction narrative qui s’est développé en Espagne depuis l’aube du XIXe siècle jusqu’à nos jours. En se basant sur un large éventail d’écrivains (Javier Moro, Emilia Pardo Bazán, Vicente Luis Mora, Javier Cercas, Mario Cuenca Sandoval, Alfons Cervera, Belén Gopegui, Sara Mesa, Antonio Altarriba et Keko,  Gustavo Martín Garzo, Fernando Aramburu, Javier Marías, Soledad Puértolas), les auteurs des quinze études de ce volume ont tenté de répondre aux multiples questions que suscite l’art de portraire l’autre ou de se portraire.

    Auteurs : H. Bastard, M. Borel, D. Crémaux-Bouche, A. Cervera, C. Cristini, M. Delanoy, C. Di Benedetto, L. Florentin, L. garino-Abel, M. Gourgues, R. Ilasca, C. Mena, J. Phocas Sabbah, E. Romon, V. Tettamanti.

  • LE PÉNITENCIER D'OCAÑA

    Prix 21,00 €

     

    María Josefa Canellada

      

    « Quand on leur donne toutes nos nuits blanches et tous les soins, quand on leur donne notre sommeil et notre regard tendre et pur, qu’est-ce qu’on a encore à donner ? »

    Pour María Eloína, doctorante à Madrid qui décide de s’engager comme infirmière quand la guerre d’Espagne éclate en 1936, le don de soi est tout ce qu’il reste dans un monde qui a perdu ses valeurs. Du casino de Madrid au pénitencier d’Ocaña reconvertis en hôpitaux de fortune, la narratrice nous livre, sous la forme d’un journal, un témoignage poignant des pires choses dont l’homme est capable. Pourtant, son regard empreint de poésie mêlé à sa propre lutte pour rester fidèle à ses convictions dressent le portrait profondément humain d’une jeune femme en quête de sens.

    María Josefa Canellada (1912-1995) naît dans les Asturies. Doctorante à Madrid lorsqu’éclate la guerre, elle interrompt pendant quelques années ses études pour s’engager comme infirmière volontaire. Elle écrira ensuite ce roman en s’inspirant de son expérience à l’hôpital. Spécialiste des dialectes asturiens, elle intègre la Royale Académie Espagnole en 1986 et demeure aujourd’hui encore une figure éminente de la linguistique espagnole.

     

    Traduction : David Crémaux-Bouche, Amalia Desbrest, Lou Freda, Marie Gourgues, Jeanne Mousnier-Lompré, Manon Naro, Marie Schaeverbeke, Valentine Piéplu, Anna Rojas, Mathilde Salaün

  • PORTRAIT ET...

    Prix 39,95 €

    N. Noyaret, G. Palomar (eds.)

    Le portrait et l’autoportrait sont des éléments constitutifs de la fiction et de la mise en place des personnages. Ils peuvent donner à voir ou laisser une part d’ombre, et, tout en s’offrant comme une copie de la réalité, ils sont aussi un instrument de manipulation de celle-ci. Aussi les chercheurs de la NEC+ se sont-ils interrogés sur la place qu’occupe le portrait ou l’autoportrait dans le vaste champ de la fiction narrative qui s’est développé en Espagne depuis l’aube du XIXe siècle jusqu’à nos jours. En se basant sur un large éventail d’écrivains (Javier Moro, Emilia Pardo Bazán, Vicente Luis Mora, Javier Cercas, Mario Cuenca Sandoval, Alfons Cervera, Belén Gopegui, Sara Mesa, Antonio Altarriba et Keko,  Gustavo Martín Garzo, Fernando Aramburu, Javier Marías, Soledad Puértolas), les auteurs des quinze études de ce volume ont tenté de répondre aux multiples questions que suscite l’art de portraire l’autre ou de se portraire.

    Auteurs : H. Bastard, M. Borel, D. Crémaux-Bouche, A. Cervera, C. Cristini, M. Delanoy, C. Di Benedetto, L. Florentin, L. garino-Abel, M. Gourgues, R. Ilasca, C. Mena, J. Phocas Sabbah, E. Romon, V. Tettamanti.

  • RÉALISME(S) DANS LA...

    Prix 34,90 €

    X. Escudero, N. Noyaret, P. Peyraga (Éds.)

    Soupçonnant le réalisme d’être beaucoup plus complexe et opaque qu’il n’y paraît, d’être capable de se redéfinir et de se réinventer avec chaque époque pour mieux bouleverser alors notre vision et notre compréhension du réel, les chercheurs de la NEC+ se sont proposé ces dernières années d’observer l’évo-lution et les diverses manifestations du réalisme dans le cadre de la fiction narrative espagnole des XIXe, XXe et XXIe siècles. 

    Aussi nous livrent-ils ici une vingtaine d’études embrassant un large éventail d’écrivains (Emilia Pardo Bazán, Leopoldo Alas, Vicente Blasco Ibáñez, Pío Baroja, Rosa Chacel, Ana María Matute, Elena Quiroga, Alfons Cervera, Fernando Aramburu, Francisco Umbral, Marta Sanz, Cristina Morales, Pablo Gutiérrez, José Ovejero, Elvira Navarro, Gustavo Martín Garzo, Juan Bonilla, Juan Jacinto Muñoz Rengel, Alejandro López Andrada, Juan Marsé et d’autres encore) dont la « veine réaliste » est chaque fois questionnée ou repensée.

    Autant d’études, et une réflexion collective, qui prennent ap-pui sur le précieux éclairage apporté par Geneviève Champeau sur « quelques clichés sur le réalisme » et sur le passionnant témoignage des écrivains Isaac Rosa et Marta Sanz, enclins à se demander si le réalisme est toujours une représentation du réel.

    Auteurs : D. Becerra Mayor, S. Benneouala, B. Cerdá Zanar, E. Chipi, D. Crémaux-Bouche, M. Delannoy, E. Diaz, C. Di Benedetto, G. Dubois, X. Escudero, L. Freda, M. García-Farré, D. García-Ponce, L. garino-Abel, A. Godoy Cossío, M. Gourgues, A.S. Gullo, C. Mena, N. Noyaret, I. Rosa, P. Peyraga, J.R. Precioso, M. Sanz, V. Tettamanti.