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  • PORTRAIT ET...

    N. Noyaret, G. Palomar (eds.)

    Le portrait et l’autoportrait sont des éléments constitutifs de la fiction et de la mise en place des personnages. Ils peuvent donner à voir ou laisser une part d’ombre, et, tout en s’offrant comme une copie de la réalité, ils sont aussi un instrument de manipulation de celle-ci. Aussi les chercheurs de la NEC+ se sont-ils interrogés sur la place qu’occupe le portrait ou l’autoportrait dans le vaste champ de la fiction narrative qui s’est développé en Espagne depuis l’aube du XIXe siècle jusqu’à nos jours. En se basant sur un large éventail d’écrivains (Javier Moro, Emilia Pardo Bazán, Vicente Luis Mora, Javier Cercas, Mario Cuenca Sandoval, Alfons Cervera, Belén Gopegui, Sara Mesa, Antonio Altarriba et Keko,  Gustavo Martín Garzo, Fernando Aramburu, Javier Marías, Soledad Puértolas), les auteurs des quinze études de ce volume ont tenté de répondre aux multiples questions que suscite l’art de portraire l’autre ou de se portraire.

    Auteurs : H. Bastard, M. Borel, D. Crémaux-Bouche, A. Cervera, C. Cristini, M. Delanoy, C. Di Benedetto, L. Florentin, L. garino-Abel, M. Gourgues, R. Ilasca, C. Mena, J. Phocas Sabbah, E. Romon, V. Tettamanti.

  • PORTRAIT ET...

    Prix 39,95 €

    N. Noyaret, G. Palomar (eds.)

    Le portrait et l’autoportrait sont des éléments constitutifs de la fiction et de la mise en place des personnages. Ils peuvent donner à voir ou laisser une part d’ombre, et, tout en s’offrant comme une copie de la réalité, ils sont aussi un instrument de manipulation de celle-ci. Aussi les chercheurs de la NEC+ se sont-ils interrogés sur la place qu’occupe le portrait ou l’autoportrait dans le vaste champ de la fiction narrative qui s’est développé en Espagne depuis l’aube du XIXe siècle jusqu’à nos jours. En se basant sur un large éventail d’écrivains (Javier Moro, Emilia Pardo Bazán, Vicente Luis Mora, Javier Cercas, Mario Cuenca Sandoval, Alfons Cervera, Belén Gopegui, Sara Mesa, Antonio Altarriba et Keko,  Gustavo Martín Garzo, Fernando Aramburu, Javier Marías, Soledad Puértolas), les auteurs des quinze études de ce volume ont tenté de répondre aux multiples questions que suscite l’art de portraire l’autre ou de se portraire.

    Auteurs : H. Bastard, M. Borel, D. Crémaux-Bouche, A. Cervera, C. Cristini, M. Delanoy, C. Di Benedetto, L. Florentin, L. garino-Abel, M. Gourgues, R. Ilasca, C. Mena, J. Phocas Sabbah, E. Romon, V. Tettamanti.

  • LITTÉRATURE ET LANGUES...

    Prix 23,75 € Prix de base 25,00 € -5%

    B. Coquil (Coord.)

    Les articles présents dans cet ouvrage analysent les langues pratiquées en Amérique Latine depuis leur statut minoritaire. Il s’agit là d’une perspective qui met sur un même plan d’importance les langues autochtones et les langues de l’immigration. Il s’agit donc d’étudier à la fois les langues déjà présentes avant l’espagnol et les langues arrivées après. Bien que ces deux catégories ne recouvrent pas les mêmes réalités, il est intéressant d'en proposer l'étude comparée, à plusieurs niveaux : leur pratique comme moyen de défense d’une identité culturelle et collective, leur cohabitation dans les textes avec la langue espagnole majoritaire, les formes de métissage linguistique, les modes de publication et de circulation de ces productions littéraires, etc. Une première partie de l’ouvrage est consacrée à ces phénomènes dans l’espace du Cône Sud, en particulier avec les langues de l’immigration, tandis que dans la seconde partie sont analysées les relations entre littérature et langues autochtones au Pérou et au Mexique.

    Auteurs : G. Villanueva, L. Gentilezza, S. Delgado, R. Orihuela, T. Romero Barrios, L.M. Lepe Lira.

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.