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  • L’ART EN PARTAGE CITOYEN

    Sabine Forero Mendoza, Marion Hohlfeldt & Pascale Peyraga (ed)

     

    Depuis trois décennies environ, les pratiques artistiques collaboratives se multiplient. Parce qu’elles reposent sur la mise en commun des ressources et des savoir-faire, qu’elles privilégient le partage des expériences et la coopération, elles remettent profondément en question les notions d’auteur, d’œuvre et de public auxquelles se substituent celles de co-production, de projet et de participation. En proposant de nouvelles formes de convivialité et d’organisation collective, elles contribuent à redéfinir les contours du politique. Ce volume, qui fait alterner réflexions générales et études de cas, s’attache à cerner l’aspiration au « partage citoyen » dont témoignent de telles évolutions, indissociablement artistiques, sociales et politiques.

    Auteurs : Eugènia AgustíElizabeth AuclairAntoine Chaudet, Klaus FruchtnisJoëlle GonthierMercedes González BraccoAnne HertzogMarion HohlfeldtGudrun LedegenJo MilneRamon ParramonEloi PuigÉric Van EsscheEstelle VanwambekeAline WiameJoëlle Zask.

  • L’ART EN PARTAGE CITOYEN

    Prix 29,95 €

    Sabine Forero Mendoza, Marion Hohlfeldt & Pascale Peyraga (ed)

     

    Depuis trois décennies environ, les pratiques artistiques collaboratives se multiplient. Parce qu’elles reposent sur la mise en commun des ressources et des savoir-faire, qu’elles privilégient le partage des expériences et la coopération, elles remettent profondément en question les notions d’auteur, d’œuvre et de public auxquelles se substituent celles de co-production, de projet et de participation. En proposant de nouvelles formes de convivialité et d’organisation collective, elles contribuent à redéfinir les contours du politique. Ce volume, qui fait alterner réflexions générales et études de cas, s’attache à cerner l’aspiration au « partage citoyen » dont témoignent de telles évolutions, indissociablement artistiques, sociales et politiques.

    Auteurs : Eugènia Agustí, Elizabeth Auclair, Antoine Chaudet, Klaus Fruchtnis, Joëlle Gonthier, Mercedes González Bracco, Anne Hertzog, Marion Hohlfeldt, Gudrun Ledegen, Jo Milne, Ramon Parramon, Eloi Puig, Éric Van Essche, Estelle Vanwambeke, Aline Wiame, Joëlle Zask.

  • Transiciones

    Prix 25,00 €

    En este volumen abordamos de forma transversal el concepto de “transición”. Transiciones que se produjeron en la Edad Media, o más tarde, en los siglos XIX, XX o XXI, en España y en Hispanoamérica. Se trata de distintos tipos de transición: sea religiosa o de la consciencia, sea de tipo lingüístico, literario o identitario  Interrogándonos siempre si estas transiciones se han llevado a buen puerto.

    Según el DRAE, la transición es la “acción y efecto de pasar de un modo de ser o estar a otro distinto”, A esta definición añadiremos la que nos da el CNRTL: “Passage d’un état à un autre”, la cual puede aplicarse a la transición del instinto a la civilización o viceversa; de la condición de dominado a la de dominante, de la de minoría que se “integra” en la mayoría religiosa o a cualquiera de las transiciones políticas que van de la dictadura a la democracia.

    En el CNRTL, encontramos también una segunda definición en la que se tiene en cuenta el modo de pasar de un estado a otro: “Fait de passer graduellement, d’un état à un autre”. En esta segunda acepción, la transición remite a un cambio gradual, contrario a lo que indica la locución adverbial “sans transition”, es decir, pasar de un estado a otro bruscamente. Esta transición gradual la hallamos, por ejemplo, en la estandarización del español en Hispanoamérica. En la tercera acepción, el diccionario francés precisa que existe una gradación o estado intermedio en el proceso de transición: “Degré ou état intermédiaire par lequel se fait le passage d’un état à un autre”. Un estado intermedio que, en algunos casos, se perpetúa sin que se consume la transición.

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.