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  • Transiciones

    Prix 25,00 €

    En este volumen abordamos de forma transversal el concepto de “transición”. Transiciones que se produjeron en la Edad Media, o más tarde, en los siglos XIX, XX o XXI, en España y en Hispanoamérica. Se trata de distintos tipos de transición: sea religiosa o de la consciencia, sea de tipo lingüístico, literario o identitario  Interrogándonos siempre si estas transiciones se han llevado a buen puerto.

    Según el DRAE, la transición es la “acción y efecto de pasar de un modo de ser o estar a otro distinto”, A esta definición añadiremos la que nos da el CNRTL: “Passage d’un état à un autre”, la cual puede aplicarse a la transición del instinto a la civilización o viceversa; de la condición de dominado a la de dominante, de la de minoría que se “integra” en la mayoría religiosa o a cualquiera de las transiciones políticas que van de la dictadura a la democracia.

    En el CNRTL, encontramos también una segunda definición en la que se tiene en cuenta el modo de pasar de un estado a otro: “Fait de passer graduellement, d’un état à un autre”. En esta segunda acepción, la transición remite a un cambio gradual, contrario a lo que indica la locución adverbial “sans transition”, es decir, pasar de un estado a otro bruscamente. Esta transición gradual la hallamos, por ejemplo, en la estandarización del español en Hispanoamérica. En la tercera acepción, el diccionario francés precisa que existe una gradación o estado intermedio en el proceso de transición: “Degré ou état intermédiaire par lequel se fait le passage d’un état à un autre”. Un estado intermedio que, en algunos casos, se perpetúa sin que se consume la transición.

  • HISTOIRES DE...

    Prix 31,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Familles... Si le terme paraît des plus « familiers » – comme s’il allait de soi –, si tout le monde a sa propre représentation et sa propre expérience de la famille, il est pourtant de plus en plus malaisé d’en donner une définition universellement satisfaisante. Les dernières décennies ont, en effet, été marquées par de profonds bouleversements qui se traduisent en termes d’éclatement ou de recomposition de la traditionnelle famille nucléaire. Il semblerait que l’on soit passé de la Famille à des familles qui se déclinent selon une pluralité de modèles. À partir de ce constat, le présent volume se propose d’interroger le concept de « famille », avec ses histoires, ses secrets, ses configurations multiples, ses liens de sang ou de cœur, ses petits bonheurs et ses grands drames, dans un contexte linguistique, géographique et culturel précis – le monde hispanique contemporain – et autour de trois grands axes de réflexion : l’aspect linguistique, le rapport entre les histoires de familles et l’Histoire, pour finir avec les mutations (subversives ?) d’une famille placée « sur la sellette ». Ce parcours rend ainsi compte, à travers la langue, l’histoire culturelle et les arts, des multiples sens et des diverses configurations de la famille qui continue d’être une source d’inspiration inépuisable dans le monde contemporain.

    Auteurs : A. Abuín González, N. Aït Bachir, M. Álvarez, F. Bellido Peris, N. Besse, B. Brémard, M. Delannoy, H. Fretel, E. Larraz, A. López, L. Montero, X. Nogueira, N. Noyaret, In. Real López, A. Oddo, W. Orozco, S. Oury, G. Palomar, A. Pestaña, B. Riestra,  J. Rodrigues, A.R. Antequera, L. Royer, J. Sánchez, I. Villarmea, C. Viñals.

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.