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  • Nb de pages: 188
  • Nb de pages: 196
  • RÉCEPTIONS RÉCIPROQUES...

    Prix 25,00 €

    C. Heymann, E. Mächler Tobar (Coords.)

    Expression de la politique culturelle mise en œuvre par le gouvernement français depuis 1985, l’« Année croisée » France Colombie 2017 a été la première à se tenir avec un pays hispanophone (et la seconde avec l’Amérique du Sud, après celle réalisée avec le Brésil en 2009). Ainsi, dans le cadre de la Saison française en Colombie et de la Saison colombienne en France, de nombreuses manifestations artistiques, scientifiques et linguistiques ont-elles eu lieu dans plusieurs villes des deux pays. 
    C’est dans cette perspective d’ échanges entre les deux pays qu’est né cet ouvrage, fruit d’une collaboration entre le Centre d’Études Hispaniques d’ Amiens (CEHA), rattaché à l’Université de Picardie Jules Verne et le Centre de Recherches Ibériques et Ibéro-Américaines (CRIIA, EA 369) de l’Université Paris Nanterre. Dans le long et fécond dialogue entre la Colombie et la France, nous avons choisi de nous intéresser à certains des agents et des vecteurs de la réception tant de la littérature française en Colombie que de la littérature colombienne en France depuis un siècle : les passeurs de culture (traducteurs, éditeurs, enseignants, chercheurs), les écrivains ainsi que les supports de transmission que sont les revues.

    Auteurs : F. Delpart, J. Garavito, C. Heymann, E. Mächler Tobar, P. Montoya, D. Nouhaud, F. Rodríguez Amaya.

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.