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  • LE GESTE DOCUMENTAIRE...

    Prix 39,95 €

    Sonia Kerfa, Dario Marchiori & Angélica Mateus Mora (ed.)

     

    Depuis quelques années, le cinéma documentaire a retrouvé un souffle et un public en Europe et sur le continent américain. De nombreux festivals lui sont consacrés qui comptent désormais un nombre chaque fois plus conséquent de réalisatrices. Au cours de l’histoire, des femmes ont pris conscience que le discours dominant avait fermé les portes à leur point de vue. Dès lors, il est légitime de se demander comment le cinéma documentaire peut faire l’économie de ces films réalisés par des femmes au regard politisé qui ont apporté de nouvelles manières de faire. C’est ce à quoi s’attellent les quinze articles et les deux essais personnels de cet ouvrage qui s’intéresse aux films documentaires, maintenus dans une double marginalité, celle du cinéma documentaire et celle due au statut des femmes. Circonscrits aux aires culturelles et linguistiques hispanophone et lusophone, européennes et outre-Atlantique, qui partagent une histoire violente et des conditions socio-culturelles défavorables aux femmes, les textes choisis visent à mettre en avant une culture visuelle partagée mais aussi les spécificités afférentes à chaque pays ou à chaque continent. Ils invitent à réfléchir aux films documentaires comme à des opérations d’intelligibilité du monde.

    Auteurs : Claire Allouche, Núria Araüna, Isolina Ballesteros, Elena Blázquez, Brice Castanon-Akrami, Leticia Castro Vilela, Lorena Cervera Ferrer, Laura Grifol-Isely, Margarita Ledo Andión, Mariano Lisa Escaned, David Mauri, María Isabel Menéndez Menéndez, Annalisa Mirizio, Laure Pérez, Laia Quílez, Lita Rubiano Tamayo, Raquel Schefer, Caroline Schmidt Patricio, Pascale Thibaudeau.

  • LOS POETAS Y EL...

    Prix 31,00 €

    E. Baena

    El espíritu del tiempo, como fundamentación de la sensibilidad en la poética histórica hasta alcanzar la más moderna y contemporánea, conforma el leitmotiv en este libro. Desde Goethe, que en nuestro juicio alcanza la visión de Antonio Machado, como con la escisión más simbólica de Nietzsche, se conforma la herencia literaria moderna de una sucesividad que permanece en el núcleo de la creación actual. Y en épocas precedentes, la formación del clasicismo no fue sino la conquista de una invisibilidad, de un legado presentido, que también entrañaba lo paródico, la ironía y la paradoja: Cervantes, Molière, Shakespeare... Ello resuena en el eco conceptista, en la lírica de Quevedo, integrándose su voz en la mejor poesía española contemporánea: un florecimiento de retorno en las letras que, desde el siglo áureo, emite el claro mensaje que personifica el afán estético por no perecer. Caído el prodigio, y tras el racionalismo, el sujeto y su delirio se revelan y adviene el idealismo, y en ese devenir la poesía será ucrónica, sumergiendo el sueño en la irrealidad hasta llegar a las Vanguardias. Una inmensidad contemporánea de escenarios abiertos, en la poética y el sueño, o en el legado romántico, de Keats, de Hölderlin, en la poesía existencial. La temporalidad histórica se hace asimismo compromiso, siendo ese Sein und Zeit heideggeriano, ante la conciencia confinada en lo temporal, su deseada liberación. María Zambrano indagó en este confinamiento hasta desvelar que en la lucidez de la poesía, en lo más nuclear, radica la filosofía; y el yo es su emisario, a veces personal y a veces desconocido, sagrado o remoto, discurriendo por las eras, culturas y épocas. Sus huellas en el presente novedoso revierten en la historicidad de la conciencia literaria, conditio sine qua non de la  transmisión poética.

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.