Tous nos livres

Filtres actifs

  • Nb de pages: 196
  • Nb de pages: 314
  • Nb de pages: 314
  • Nb de pages: 340
  • EMPREINTES D'AILLEURS...

    Bénédicte Brémard & Alexandra Palau (Ed.)

     

    Les pays de langue espagnole ont connu depuis le XXsiècle différentes vagues migratoires : de l’exil politique aux migrations économiques, au sein du monde hispanophone ou en contact avec un Ailleurs linguistique (Europe, Amérique du Nord, Afrique, etc.).

    Quelles empreintes culturelles ces mouvements migratoires et cette présence linguistique laissent-ils dans les territoires qui accueillent ces mouvements d’allers-retours ? Quelles transformations induisent-ils sur les imaginaires sociaux et nationaux ? Dans une société multiculturelle, l’identité est-elle choix, héritage ou simple reflet d’un manque ?

    Face à une logique de l’effacement et de l’invisibilité de la condition d’étranger, cet ouvrage a pour objectif de rendre compte de la complexité mais aussi de la richesse de ces processus d’hybridation qui impliquent rencontres/interactions culturelles et reconnaissance de l’altérité.

    À travers la littérature, la civilisation, les arts visuels et la linguistique, les quatorze contributions de ce volume tentent d’ouvrir un espace vers l’Ailleurs et soulèvent de nouveaux questionnements. L’art peut-il vraiment dénoncer les injustices ou simplement les représenter ? Peut-il changer le monde – ou tout au plus notre perception du monde ? Parler de l’Autre, ou pour l’Autre, n’est-ce pas déjà, un peu l’utiliser ?

    Auteurs : Carmen Becerra, Carmen Bellas, Alberto Berzosa, Bénédicte Brémard, Brice Castanon-Akrami, David Crémaux-Bouche, Flora Guinot, Émilie Guyard, Miguel Ángel Hernández, Nadège Juan, Emmanuel Le Vagueresse, Laureano Montero, Catherine Orsini-Saillet, Alexandra Palau, Myriam Roche, John D. Sanderson.

    Cliquez Extraits pour télécharger le PDF

  • EMPREINTES D'AILLEURS...

    Prix 29,95 €

    Bénédicte Brémard & Alexandra Palau (Ed.)

     

    Les pays de langue espagnole ont connu depuis le XXe siècle différentes vagues migratoires : de l’exil politique aux migrations économiques, au sein du monde hispanophone ou en contact avec un Ailleurs linguistique (Europe, Amérique du Nord, Afrique, etc.).

    Quelles empreintes culturelles ces mouvements migratoires et cette présence linguistique laissent-ils dans les territoires qui accueillent ces mouvements d’allers-retours ? Quelles transformations induisent-ils sur les imaginaires sociaux et nationaux ? Dans une société multiculturelle, l’identité est-elle choix, héritage ou simple reflet d’un manque ?

    Face à une logique de l’effacement et de l’invisibilité de la condition d’étranger, cet ouvrage a pour objectif de rendre compte de la complexité mais aussi de la richesse de ces processus d’hybridation qui impliquent rencontres/interactions culturelles et reconnaissance de l’altérité.

    À travers la littérature, la civilisation, les arts visuels et la linguistique, les quatorze contributions de ce volume tentent d’ouvrir un espace vers l’Ailleurs et soulèvent de nouveaux questionnements. L’art peut-il vraiment dénoncer les injustices ou simplement les représenter ? Peut-il changer le monde – ou tout au plus notre perception du monde ? Parler de l’Autre, ou pour l’Autre, n’est-ce pas déjà, un peu l’utiliser ?

    Auteurs : Carmen Becerra, Carmen Bellas, Alberto Berzosa, Bénédicte Brémard, Brice Castanon-Akrami, David Crémaux-Bouche, Flora Guinot, Émilie Guyard, Miguel Ángel Hernández, Nadège Juan, Emmanuel Le Vagueresse, Laureano Montero, Catherine Orsini-Saillet, Alexandra Palau, Myriam Roche, John D. Sanderson.

    Introduction et Sommaire en bas de page (Extraits)

  • MÉMOIRES, TRACES,...

    Prix 31,90 €

    É. Bouzonviller, F. Reviron-Piégay, E. Souvignet (Éds.)

    Dans un contexte où règnent de concert « mnémotropisme » et « commémoratisme » ainsi que leur remise en question, il est urgent de réexaminer les choix qui président à la mise en œuvre des traces mémorielles de notre passé. Mémoires, traces, empreintes rassemble les contributions d’anglicistes et d’hispanistes qui explorent les enjeux épistémologiques de la mémoire et de ses représentations, à la croisée du politique, de l’historique, de l’éthique et de l’esthétique. Les contributions de ce volume font dialoguer les siècles et les disciplines sans fermeture méthodologique ni idéologique : théâtre élisabéthain, mémoires contemporains, historiographie de l’Espagne récente, fictions britannique, américaine et espagnole contemporaines, Siècle d’or espagnol, récits des diasporas, poésie et photographie espagnoles du XXe siècle, architecture américaine du XXIe sont convoqués tour à tour afin de mettre en lumière les processus complexes à l’œuvre dans tout récit sur la mémoire. 

    Aborder la mémoire dans ses relations à la trace et à l’empreinte suppose d’analyser la mise en récit de la mémoire, qu’elle soit collective ou individuelle, incarnée ou désincarnée, volontaire ou involontaire, historicisée ou déshistoricisée, d’où une prépondérance des contributions dédiées à la littérature, à l’art et à l’histoire. 

    Du traumatisme vers la jouissance et la célébration des sens, de la matérialité lourde du monument mémoriel vers la puissance imaginative de la fiction, ce volume offre un parcours de lecture dynamique qui traduit bien les paradoxes de son sujet.

    Auteurs : A. Alted Vigil, C. Bigot, É. Bouzonviller, A. Chirol To, G. coste, G. del Vecchio, J. Fintzel, S. Lejri, J. Matteson, N.K. Miller, C. Orobitg, M. Pawlicki, F. reviron-Piègay, S.L. Riemenscheider, V. Allen-Terry Sherman, S. Sitayeb, J. Soubeyroux, E. Souvignet.

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.