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  • DU PÉNINDENTÈME AU MOT...

    Après un état des lieux de la question et des définitions de « faux amis », cet ouvrage tente de retenir des critères permettant d’élargir la notion de paronymes et homonymes interlinguistiques, au périmètre sémantique partiellement ou totalement discordant (faux amis sémantiques). Elle est étendue aux paronymes (parophones et parographes) synonymes interlinguistiques (faux amis phonographiques) et aux faux amis morphosyntaxiques (de rection ou de genre discordants entre les deux langues). Des explications des raisons des écarts observés sont alors avancées. Partant des études déjà menées et des dictionnaires publiés en la matière, il est dressé un inventaire actualisé de près de 3000 vocables (le plus important à ce jour). Pour finir, des pistes d’étude objective et exhaustive de la question sont proposées, prenant notamment en compte la notion, souvent éludée, de risque de confusion.

     

    Stéphane Oury est agrégé de l’université, traducteur assermenté, et maître de conférences (HDR) à l’université de Lorraine. Spécialiste de linguistique hispanique, ses travaux portent sur la traduction et la lexicologie, et plus précisément sur la néologie, notamment l’emprunt linguistique. Il est l’auteur de nombreux articles et ouvrages à ce sujet.

  • DU PÉNINDENTÈME AU MOT...

    Prix 39,95 €

    Après un état des lieux de la question et des définitions de « faux amis », cet ouvrage tente de retenir des critères permettant d’élargir la notion de paronymes et homonymes interlinguistiques, au périmètre sémantique partiellement ou totalement discordant (faux amis sémantiques). Elle est étendue aux paronymes (parophones et parographes) synonymes interlinguistiques (faux amis phonographiques) et aux faux amis morphosyntaxiques (de rection ou de genre discordants entre les deux langues). Des explications des raisons des écarts observés sont alors avancées. Partant des études déjà menées et des dictionnaires publiés en la matière, il est dressé un inventaire actualisé de près de 3000 vocables (le plus important à ce jour). Pour finir, des pistes d’étude objective et exhaustive de la question sont proposées, prenant notamment en compte la notion, souvent éludée, de risque de confusion.

     

    Stéphane Oury est agrégé de l’université, traducteur assermenté, et maître de conférences (HDR) à l’université de Lorraine. Spécialiste de linguistique hispanique, ses travaux portent sur la traduction et la lexicologie, et plus précisément sur la néologie, notamment l’emprunt linguistique. Il est l’auteur de nombreux articles et ouvrages à ce sujet.

  • EMPREINTES D'AILLEURS...

    Bénédicte Brémard & Alexandra Palau (Ed.)

     

    Les pays de langue espagnole ont connu depuis le XXsiècle différentes vagues migratoires : de l’exil politique aux migrations économiques, au sein du monde hispanophone ou en contact avec un Ailleurs linguistique (Europe, Amérique du Nord, Afrique, etc.).

    Quelles empreintes culturelles ces mouvements migratoires et cette présence linguistique laissent-ils dans les territoires qui accueillent ces mouvements d’allers-retours ? Quelles transformations induisent-ils sur les imaginaires sociaux et nationaux ? Dans une société multiculturelle, l’identité est-elle choix, héritage ou simple reflet d’un manque ?

    Face à une logique de l’effacement et de l’invisibilité de la condition d’étranger, cet ouvrage a pour objectif de rendre compte de la complexité mais aussi de la richesse de ces processus d’hybridation qui impliquent rencontres/interactions culturelles et reconnaissance de l’altérité.

    À travers la littérature, la civilisation, les arts visuels et la linguistique, les quatorze contributions de ce volume tentent d’ouvrir un espace vers l’Ailleurs et soulèvent de nouveaux questionnements. L’art peut-il vraiment dénoncer les injustices ou simplement les représenter ? Peut-il changer le monde – ou tout au plus notre perception du monde ? Parler de l’Autre, ou pour l’Autre, n’est-ce pas déjà, un peu l’utiliser ?

    Auteurs : Carmen Becerra, Carmen Bellas, Alberto Berzosa, Bénédicte Brémard, Brice Castanon-Akrami, David Crémaux-Bouche, Flora Guinot, Émilie Guyard, Miguel Ángel Hernández, Nadège Juan, Emmanuel Le Vagueresse, Laureano Montero, Catherine Orsini-Saillet, Alexandra Palau, Myriam Roche, John D. Sanderson.

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  • EMPREINTES D'AILLEURS...

    Prix 29,95 €

    Bénédicte Brémard & Alexandra Palau (Ed.)

     

    Les pays de langue espagnole ont connu depuis le XXe siècle différentes vagues migratoires : de l’exil politique aux migrations économiques, au sein du monde hispanophone ou en contact avec un Ailleurs linguistique (Europe, Amérique du Nord, Afrique, etc.).

    Quelles empreintes culturelles ces mouvements migratoires et cette présence linguistique laissent-ils dans les territoires qui accueillent ces mouvements d’allers-retours ? Quelles transformations induisent-ils sur les imaginaires sociaux et nationaux ? Dans une société multiculturelle, l’identité est-elle choix, héritage ou simple reflet d’un manque ?

    Face à une logique de l’effacement et de l’invisibilité de la condition d’étranger, cet ouvrage a pour objectif de rendre compte de la complexité mais aussi de la richesse de ces processus d’hybridation qui impliquent rencontres/interactions culturelles et reconnaissance de l’altérité.

    À travers la littérature, la civilisation, les arts visuels et la linguistique, les quatorze contributions de ce volume tentent d’ouvrir un espace vers l’Ailleurs et soulèvent de nouveaux questionnements. L’art peut-il vraiment dénoncer les injustices ou simplement les représenter ? Peut-il changer le monde – ou tout au plus notre perception du monde ? Parler de l’Autre, ou pour l’Autre, n’est-ce pas déjà, un peu l’utiliser ?

    Auteurs : Carmen Becerra, Carmen Bellas, Alberto Berzosa, Bénédicte Brémard, Brice Castanon-Akrami, David Crémaux-Bouche, Flora Guinot, Émilie Guyard, Miguel Ángel Hernández, Nadège Juan, Emmanuel Le Vagueresse, Laureano Montero, Catherine Orsini-Saillet, Alexandra Palau, Myriam Roche, John D. Sanderson.

    Introduction et Sommaire en bas de page (Extraits)

  • FICCIÓN Y CIENCIA

    Prix 39,95 €

    M. Kunz, S. Rosa (Eds.)

    Ficción y ciencia son consideradas a menudo como ámbitos antagónicos que oponen la libre invención de historias a la exigencia de fundar todas las aserciones en hechos y datos veri­ficables. La ciencia y los científicos, sin embargo, han sido a menudo objeto de obras de ficción, también en los países hispanohablantes, por ejemplo en forma de especulaciones y reflexiones sobre las posibilidades y los límites de la ciencia (sobre todo en la literatura fantástica y la ciencia fic­ción), en el uso de métodos científicos o pseudocientíficos para resolver problemas de la trama, en hipótesis sobre las consecuencias futuras positivas (eutopías) y negativas (distopías) de las actuales tendencias científicas innovadoras, en la representación narrativa o dramática/fílmica de la compleja figura del científico como inves­tigador y/o profesor (genia­lidad, filan­tropía, megalomanía, utopismo, dogmatismo, perver­sión, locura, etc.) y su papel en socie­dades que necesitan su trabajo al mismo tiempo que lo cuestionan críticamente.

    Autores: N. Álvarez Mendez, M. E. Carrillo García, M. Cedeño Rojas, M. Cheguhem Riani, J. Chen Sham, N. Crocoll, M. Damonte Luzi, D.A. Galván Camacho, E. Geneau, M. Kunz, N. Licata, C. Londoño Poaño, T. López-Pellisa, O. Martínez Agís, C. Martínez Torres, A. Mascorro Yago, C. Mondragón, E. Orduña Fernández, B. Palacios, M. Remón-Raillard, S. Rosa, V. Seminario, M. X. Venturini

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.