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  • Nb de pages: 196
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  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.

  • L'ECRIVAIN À L'OEUVRE...

    Prix 34,90 €

         Quels visages et contours l’écrivain à l’oeuvre peut-il revêtir, quelle relation l’écrivain nourrit-il avec son oeuvre ou avec l’oeuvre en général ? C’est en s’appuyant sur le récit de fiction paru en Espagne depuis le XIXe siècle jusqu’à nos jours que les chercheurs et collaborateurs de la Nec+ tentent de répondre à ces questionnements, s’attachant à définir ainsi la figure de l’écrivain non pas en tant qu’auctor – l’auteur dont le nom est associé à l’oeuvre –, mais bien plutôt comme scriptor, cette personne qui matériellement écrit, écrivain-compositeur, parfois même simple copiste, copiste des autres, voire de lui-même, artiste-artisan.

         Azorín, Juan Goytisolo, Juan Marsé, José María Merino, Maruja Torres, Luis Landero, Rafael Chirbes, Arturo Pérez-Reverte, Salvador Gutiérrez Solís, Carmen Posadas, Alejandro López Andrada, Carlos Salem, Fernando Aramburu, César Muñoz Arconada, Jardiel Poncela, Andrés Neuman, Soledad Puértolas, Antonio Muñoz Molina, Ricardo Menéndez Salmón ou Javier Cercas figurent parmi les auteurs ici étudiés.
         Trois témoignages d’écrivains ou biographes espagnols contemporains, José María Merino, Luis Mateo Díez et Manuel Alberca, viennent compléter ces différentes analyses.

  • IMAGEN Y VERDAD EN EL...

    Prix 29,90 €

    C. Colin, P. Peyraga, I. Touton, C. Giménez Navarro, M.P. Ramouche (Éds.)

    Este libro se propone crear un diálogo fecundo entre las dimensiones filosófica, estética, plástica, semiótica y pragmática de la imagen en el mundo hispánico actual. Las preguntas que se hacen aquí no tienen tanto que ver con la ontología de las imágenes, como con esas “imágenes verdaderas –es decir, justas, necesarias–” a las que apuntaba Víctor Erice, y con la conformidad de su “discurso” con la realidad. En otros términos, será preciso entender la función de las imágenes en la construcción del mundo e interrogarse sobre la capacidad de las mismas para participar en la percepción de la realidad, no sólo para dar a conocerla sino también para modificar la relación del hombre con ella, si esto fuera posible. Esto supone considerar la imagen como un sistema dinámico en el que el proceso de construcción, deconstrucción y reconstrucción de la verdad es constante y considerar su carácter performativo porque si la imagen saca a la luz una verdad escondida y secreta, se define también, de manera evidente, como contra-poder frente a los poderes hegemónicos, sean visuales o políticos, lo que remite a la potencialidad de la imagen en cuanto a su intervención sobre la realidad. Estos planteamientos son frutos de trabajos realizados por la RIVIC, Red Interdisciplinar sobre las Verdades de la Imagen española Contemporánea.

    Autores: T. Aguado, J.J. Alonso Carballés, C. Colin, A. García Navarro, C. González, R. Girona, S. Hünsch, M. Janer, J.I. Lorente Bilbao, E. Mora, P. Peuraga, Á. Quintana, M.P. Ramouche, A. Sarría Buil, K. Sojo, I. Touton.