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  • PRENDRE CORPS, DIRE LE...

    Prix 34,90 €

    B.  Brémard (Dir.)

    Que représente le corps dans le monde hispanique contemporain ? Contrôlé voire anéanti ou effacé par des régimes totalitaires, libéré jusqu’à l’excès par la fin de la censure, enjeu politique ou arme de communication, objet de préoccupations scientifiques ou sociales (pour le soigner, le reconstruire, le rajeunir, le modifier), le corps peut-il encore porter l’identité individuelle ou la mémoire collective ?

    Avec pour objets d’études le cinéma, la vidéo, la littérature, les arts visuels ou le flamenco, les vingt-deux contributions de ce volume, regroupées en cinq parties : « Le corps et la norme », « Corps en construction/corps en destruction », « Corps et identité nationale », « Corps et genres artistiques » et « Le corps à l’avant-garde », proposent de réfléchir à ces questionnements et nous montrent que, du début du XXe siècle à nos jours, sous le regard des artistes, le corps n’a cessé de créer le trouble et d’interroger notre rapport aux genres, aux modèles, les limites de notre tolérance et nos liens au vivant.

    Auteurs : C. Becerra Suárez, C. Belmonte Grey, J.P. Campillo, C. Cristini, M. Delannoy, P. Doucet, A.J. Gil González, S. Kerfa, L. Lavergne, E. Le Vagueresse, L. Montero, X. Nogueira, A. Pestaña, O. Pierrugues, R. Previtera, S. Pruvost, J. Rodrigues, M. Rodríguez Avis, S. Rodríguez, L. Royer, J. Sánchez, P. Turrión Borallo.

  • RELEYENDO PEDRO LÓPEZ...

    Prix 21,00 €

    R. Amrán (Coord.)

    El volumen colectivo que presentamos a continuación en torno a la figura de Pedro López de Ayala (1332-1407) representa una segunda parte de un proyecto iniciado en el año 2009, en el Centro de Estudios Hispánicos de Amiens (CEHA), de la Universidad de Picardie y publicado en La Collection du Centre d’Études Hispaniques d’Amiens (UPJV-Indigo).

       En estos diez años muchos cambios se han producido, creemos que la figura de Pedro López de Ayala ha resurgido, en cierta forma de “entre sus cenizas” y aparecido en el panorama historiográfico de los medievalistas especializados en la Edad Media peninsular. El hecho de que una de las obras del canciller, El Rimado de Palacio, forme parte del programa de la Agrégation externe d’espagnol propuesta por el Ministerio de Educación francés nos lo demuestra.

     Los estudios de los colegas que han tenido a bien participar en este año 2019, son diversos, pero relacionados directamente con dos de las grandes actividades literarias de Ayala, las Crónicas y El Rimado de Palacio.

    Autores: E. García Fernández, A. Paz Moro, A. Dacosta, C. Valdaliso Casanova, D. Pelaz, R. Amrán, H. Bizzarri.

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.