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  • Nb de pages: 300
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  • MOTS ET CORPS BIBLIQUES

    Prix 34,90 €

    I. Bouchiba-Fochesato, M. Santa-Cruz (Éds.)

    Les liens qui unissent la littérature et le texte biblique ne sont plus à démontrer ; ils ont fait, au cours des siècles, l’objet de nombreuses exégèses, de propositions de typologie et de tentatives de classification. La Bible apparaît alors comme le Texte des textes, une source intarissable auprès de laquelle l’artiste revient sans cesse s’abreuver, une matrice originelle. Le matériau biblique est alors réinvesti soit dans une optique religieuse afin d’instruire et d’édifier les esprits par la parole divine soit, au contraire, pour les détourner de croyances ou de superstitions qui enchainent le peuple.  

    Les chercheuses et chercheurs qui ont contribué à cet ouvrage proposent de dépasser la seule recherche de sources ou d’intertextes bibliques, indéniablement présents et fondamentaux, pour s’intéresser à la Bible dans son ensemble, comme structure ou « hyperstructure » qui féconde toute la modernité littéraire. Les travaux ici rassemblés abordent des textes aussi bien espagnols qu’hispano-américains, classiques et contemporains, de prose et de poésie et s’appuient sur des outils d’analyse divers : linguistique, narratologie, littéralité, psychocritique, etc. Ces différentes grilles de lecture et exemples font tous émerger cette trame de fond biblique, consciente ou inconsciente, assumée ou simple écho lointain, qui tisse un profond réseau de symboles et de références particulièrement fertile. 

    Auteurs : M. Bernède, I. Bouchiva-fochesato, F. Bravo, D. Breton, F. Gilbert, M.E. Kaufmant, P. Meunier, E. Moron, P. Rabaté, T. Rodríguez, N. Rodríguez Lázaro, L. Sánchez de las Cuevas, M. Santa-Cruz, B. Seray.

  • MÉMOIRES, TRACES,...

    Prix 31,90 €

    É. Bouzonviller, F. Reviron-Piégay, E. Souvignet (Éds.)

    Dans un contexte où règnent de concert « mnémotropisme » et « commémoratisme » ainsi que leur remise en question, il est urgent de réexaminer les choix qui président à la mise en œuvre des traces mémorielles de notre passé. Mémoires, traces, empreintes rassemble les contributions d’anglicistes et d’hispanistes qui explorent les enjeux épistémologiques de la mémoire et de ses représentations, à la croisée du politique, de l’historique, de l’éthique et de l’esthétique. Les contributions de ce volume font dialoguer les siècles et les disciplines sans fermeture méthodologique ni idéologique : théâtre élisabéthain, mémoires contemporains, historiographie de l’Espagne récente, fictions britannique, américaine et espagnole contemporaines, Siècle d’or espagnol, récits des diasporas, poésie et photographie espagnoles du XXe siècle, architecture américaine du XXIe sont convoqués tour à tour afin de mettre en lumière les processus complexes à l’œuvre dans tout récit sur la mémoire. 

    Aborder la mémoire dans ses relations à la trace et à l’empreinte suppose d’analyser la mise en récit de la mémoire, qu’elle soit collective ou individuelle, incarnée ou désincarnée, volontaire ou involontaire, historicisée ou déshistoricisée, d’où une prépondérance des contributions dédiées à la littérature, à l’art et à l’histoire. 

    Du traumatisme vers la jouissance et la célébration des sens, de la matérialité lourde du monument mémoriel vers la puissance imaginative de la fiction, ce volume offre un parcours de lecture dynamique qui traduit bien les paradoxes de son sujet.

    Auteurs : A. Alted Vigil, C. Bigot, É. Bouzonviller, A. Chirol To, G. coste, G. del Vecchio, J. Fintzel, S. Lejri, J. Matteson, N.K. Miller, C. Orobitg, M. Pawlicki, F. reviron-Piègay, S.L. Riemenscheider, V. Allen-Terry Sherman, S. Sitayeb, J. Soubeyroux, E. Souvignet.

  • IMAGEN Y VERDAD EN EL...

    Prix 29,90 €

    C. Colin, P. Peyraga, I. Touton, C. Giménez Navarro, M.P. Ramouche (Éds.)

    Este libro se propone crear un diálogo fecundo entre las dimensiones filosófica, estética, plástica, semiótica y pragmática de la imagen en el mundo hispánico actual. Las preguntas que se hacen aquí no tienen tanto que ver con la ontología de las imágenes, como con esas “imágenes verdaderas –es decir, justas, necesarias–” a las que apuntaba Víctor Erice, y con la conformidad de su “discurso” con la realidad. En otros términos, será preciso entender la función de las imágenes en la construcción del mundo e interrogarse sobre la capacidad de las mismas para participar en la percepción de la realidad, no sólo para dar a conocerla sino también para modificar la relación del hombre con ella, si esto fuera posible. Esto supone considerar la imagen como un sistema dinámico en el que el proceso de construcción, deconstrucción y reconstrucción de la verdad es constante y considerar su carácter performativo porque si la imagen saca a la luz una verdad escondida y secreta, se define también, de manera evidente, como contra-poder frente a los poderes hegemónicos, sean visuales o políticos, lo que remite a la potencialidad de la imagen en cuanto a su intervención sobre la realidad. Estos planteamientos son frutos de trabajos realizados por la RIVIC, Red Interdisciplinar sobre las Verdades de la Imagen española Contemporánea.

    Autores: T. Aguado, J.J. Alonso Carballés, C. Colin, A. García Navarro, C. González, R. Girona, S. Hünsch, M. Janer, J.I. Lorente Bilbao, E. Mora, P. Peuraga, Á. Quintana, M.P. Ramouche, A. Sarría Buil, K. Sojo, I. Touton.