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  • Nb de pages: 135
  • Nb de pages: 356 p.
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  • DU PÉNINDENTÈME AU MOT...

    Après un état des lieux de la question et des définitions de « faux amis », cet ouvrage tente de retenir des critères permettant d’élargir la notion de paronymes et homonymes interlinguistiques, au périmètre sémantique partiellement ou totalement discordant (faux amis sémantiques). Elle est étendue aux paronymes (parophones et parographes) synonymes interlinguistiques (faux amis phonographiques) et aux faux amis morphosyntaxiques (de rection ou de genre discordants entre les deux langues). Des explications des raisons des écarts observés sont alors avancées. Partant des études déjà menées et des dictionnaires publiés en la matière, il est dressé un inventaire actualisé de près de 3000 vocables (le plus important à ce jour). Pour finir, des pistes d’étude objective et exhaustive de la question sont proposées, prenant notamment en compte la notion, souvent éludée, de risque de confusion.

     

    Stéphane Oury est agrégé de l’université, traducteur assermenté, et maître de conférences (HDR) à l’université de Lorraine. Spécialiste de linguistique hispanique, ses travaux portent sur la traduction et la lexicologie, et plus précisément sur la néologie, notamment l’emprunt linguistique. Il est l’auteur de nombreux articles et ouvrages à ce sujet.

  • LE PÉNITENCIER D'OCAÑA

    Prix 21,00 €

     

    María Josefa Canellada

      

    « Quand on leur donne toutes nos nuits blanches et tous les soins, quand on leur donne notre sommeil et notre regard tendre et pur, qu’est-ce qu’on a encore à donner ? »

    Pour María Eloína, doctorante à Madrid qui décide de s’engager comme infirmière quand la guerre d’Espagne éclate en 1936, le don de soi est tout ce qu’il reste dans un monde qui a perdu ses valeurs. Du casino de Madrid au pénitencier d’Ocaña reconvertis en hôpitaux de fortune, la narratrice nous livre, sous la forme d’un journal, un témoignage poignant des pires choses dont l’homme est capable. Pourtant, son regard empreint de poésie mêlé à sa propre lutte pour rester fidèle à ses convictions dressent le portrait profondément humain d’une jeune femme en quête de sens.

    María Josefa Canellada (1912-1995) naît dans les Asturies. Doctorante à Madrid lorsqu’éclate la guerre, elle interrompt pendant quelques années ses études pour s’engager comme infirmière volontaire. Elle écrira ensuite ce roman en s’inspirant de son expérience à l’hôpital. Spécialiste des dialectes asturiens, elle intègre la Royale Académie Espagnole en 1986 et demeure aujourd’hui encore une figure éminente de la linguistique espagnole.

     

    Traduction : David Crémaux-Bouche, Amalia Desbrest, Lou Freda, Marie Gourgues, Jeanne Mousnier-Lompré, Manon Naro, Marie Schaeverbeke, Valentine Piéplu, Anna Rojas, Mathilde Salaün

  • DU PÉNINDENTÈME AU MOT...

    Prix 39,95 €

    Après un état des lieux de la question et des définitions de « faux amis », cet ouvrage tente de retenir des critères permettant d’élargir la notion de paronymes et homonymes interlinguistiques, au périmètre sémantique partiellement ou totalement discordant (faux amis sémantiques). Elle est étendue aux paronymes (parophones et parographes) synonymes interlinguistiques (faux amis phonographiques) et aux faux amis morphosyntaxiques (de rection ou de genre discordants entre les deux langues). Des explications des raisons des écarts observés sont alors avancées. Partant des études déjà menées et des dictionnaires publiés en la matière, il est dressé un inventaire actualisé de près de 3000 vocables (le plus important à ce jour). Pour finir, des pistes d’étude objective et exhaustive de la question sont proposées, prenant notamment en compte la notion, souvent éludée, de risque de confusion.

     

    Stéphane Oury est agrégé de l’université, traducteur assermenté, et maître de conférences (HDR) à l’université de Lorraine. Spécialiste de linguistique hispanique, ses travaux portent sur la traduction et la lexicologie, et plus précisément sur la néologie, notamment l’emprunt linguistique. Il est l’auteur de nombreux articles et ouvrages à ce sujet.

  • FICCIÓN Y CIENCIA

    Prix 39,95 €

    M. Kunz, S. Rosa (Eds.)

    Ficción y ciencia son consideradas a menudo como ámbitos antagónicos que oponen la libre invención de historias a la exigencia de fundar todas las aserciones en hechos y datos veri­ficables. La ciencia y los científicos, sin embargo, han sido a menudo objeto de obras de ficción, también en los países hispanohablantes, por ejemplo en forma de especulaciones y reflexiones sobre las posibilidades y los límites de la ciencia (sobre todo en la literatura fantástica y la ciencia fic­ción), en el uso de métodos científicos o pseudocientíficos para resolver problemas de la trama, en hipótesis sobre las consecuencias futuras positivas (eutopías) y negativas (distopías) de las actuales tendencias científicas innovadoras, en la representación narrativa o dramática/fílmica de la compleja figura del científico como inves­tigador y/o profesor (genia­lidad, filan­tropía, megalomanía, utopismo, dogmatismo, perver­sión, locura, etc.) y su papel en socie­dades que necesitan su trabajo al mismo tiempo que lo cuestionan críticamente.

    Autores: N. Álvarez Mendez, M. E. Carrillo García, M. Cedeño Rojas, M. Cheguhem Riani, J. Chen Sham, N. Crocoll, M. Damonte Luzi, D.A. Galván Camacho, E. Geneau, M. Kunz, N. Licata, C. Londoño Poaño, T. López-Pellisa, O. Martínez Agís, C. Martínez Torres, A. Mascorro Yago, C. Mondragón, E. Orduña Fernández, B. Palacios, M. Remón-Raillard, S. Rosa, V. Seminario, M. X. Venturini

  • Ergo sum: Blas de...

    Prix 24,90 €

    Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contem­poraine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.

    On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977)  et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.