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  • LE PÉNITENCIER D'OCAÑA

    Prix 21,00 €

     

    María Josefa Canellada

      

    « Quand on leur donne toutes nos nuits blanches et tous les soins, quand on leur donne notre sommeil et notre regard tendre et pur, qu’est-ce qu’on a encore à donner ? »

    Pour María Eloína, doctorante à Madrid qui décide de s’engager comme infirmière quand la guerre d’Espagne éclate en 1936, le don de soi est tout ce qu’il reste dans un monde qui a perdu ses valeurs. Du casino de Madrid au pénitencier d’Ocaña reconvertis en hôpitaux de fortune, la narratrice nous livre, sous la forme d’un journal, un témoignage poignant des pires choses dont l’homme est capable. Pourtant, son regard empreint de poésie mêlé à sa propre lutte pour rester fidèle à ses convictions dressent le portrait profondément humain d’une jeune femme en quête de sens.

    María Josefa Canellada (1912-1995) naît dans les Asturies. Doctorante à Madrid lorsqu’éclate la guerre, elle interrompt pendant quelques années ses études pour s’engager comme infirmière volontaire. Elle écrira ensuite ce roman en s’inspirant de son expérience à l’hôpital. Spécialiste des dialectes asturiens, elle intègre la Royale Académie Espagnole en 1986 et demeure aujourd’hui encore une figure éminente de la linguistique espagnole.

     

    Traduction : David Crémaux-Bouche, Amalia Desbrest, Lou Freda, Marie Gourgues, Jeanne Mousnier-Lompré, Manon Naro, Marie Schaeverbeke, Valentine Piéplu, Anna Rojas, Mathilde Salaün

  • HISTOIRES DE...

    Prix 31,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Familles... Si le terme paraît des plus « familiers » – comme s’il allait de soi –, si tout le monde a sa propre représentation et sa propre expérience de la famille, il est pourtant de plus en plus malaisé d’en donner une définition universellement satisfaisante. Les dernières décennies ont, en effet, été marquées par de profonds bouleversements qui se traduisent en termes d’éclatement ou de recomposition de la traditionnelle famille nucléaire. Il semblerait que l’on soit passé de la Famille à des familles qui se déclinent selon une pluralité de modèles. À partir de ce constat, le présent volume se propose d’interroger le concept de « famille », avec ses histoires, ses secrets, ses configurations multiples, ses liens de sang ou de cœur, ses petits bonheurs et ses grands drames, dans un contexte linguistique, géographique et culturel précis – le monde hispanique contemporain – et autour de trois grands axes de réflexion : l’aspect linguistique, le rapport entre les histoires de familles et l’Histoire, pour finir avec les mutations (subversives ?) d’une famille placée « sur la sellette ». Ce parcours rend ainsi compte, à travers la langue, l’histoire culturelle et les arts, des multiples sens et des diverses configurations de la famille qui continue d’être une source d’inspiration inépuisable dans le monde contemporain.

    Auteurs : A. Abuín González, N. Aït Bachir, M. Álvarez, F. Bellido Peris, N. Besse, B. Brémard, M. Delannoy, H. Fretel, E. Larraz, A. López, L. Montero, X. Nogueira, N. Noyaret, In. Real López, A. Oddo, W. Orozco, S. Oury, G. Palomar, A. Pestaña, B. Riestra,  J. Rodrigues, A.R. Antequera, L. Royer, J. Sánchez, I. Villarmea, C. Viñals.

  • DES GÉNICIDES DANS LE...

    Prix 29,90 €

    É. Lavaud-Fage, C. Orsini-Saillet (Coords.)

    Le XXe siècle espagnol et latino-américain a été marqué par l’instauration de dictatures militaires et par la mise en place de politiques répressives d’une singulière violence. C’est dans ce contexte que, depuis les années 1990-2000 surtout, surgit avec insistance le concept de génocide pour qualifier la barbarie des mesures punitives. Il faut certainement voir dans l’apparition de ce terme dans les aires géographiques de langue espagnole une influence du contexte international dans lequel se tiennent des débats sur l’Holocauste mais il est pourtant vrai que l’utilisation de ce terme ne va pas de soi. En ce qui concerne l’Espagne, par exemple, il s’applique à des politiques de destruction qui visent des groupes non pas ethniques ou religieux, mais politiques. Parfois même il ne s’agit pas de personnes, puisque l’expression de « génocide culturel » est utilisée par des historiens pour évoquer des régions comme la Catalogne ou la Galice dont la langue vernaculaire – entre autres ostracismes – a été proscrite sous le franquisme.
    Ce volume d’Hispanística XX se propose donc d’entrer dans ce débat polémique en essayant de comprendre les raisons qui font qu’il existe, plusieurs décennies après les faits, une demande sociale pour qualifier certains événements historiques de « génocide ».Après une nécessaire mise au point historique et juridique, il rend compte de témoignages et de représentations construites par le biais de l’historiographie, du cinéma, des arts graphiques et de la littérature.

    Auteurs : C. Boix, D. Casimiro, C. González Canalejo, S. Large, E. Larraz, É. Lavaud-Fage, E. Le Vagueresse, J. Marco, N. Narváez Bruneau, X. Nogueira, D. Novati, C. Orsini-Saillet, A. Palau, S.G.H. Roberts.

  • A revolución escrita:...

    Prix 19,90 €

    par Óscar Freán Hernández

    Une analyse de la presse ouvrière galicienne entre 1866 et 1936.

    Ouvrage en langue galicienne

    Préface de Gérard Brey.