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A revolución escrita: a prensa obreira galega (1866-1936)
par Óscar Freán Hernández
Une analyse de la presse ouvrière galicienne entre 1866 et 1936.
Ouvrage en langue galicienne
Préface de Gérard Brey.
Une analyse de la presse ouvrière galicienne accompagnée d'un catalogue détaillé des publications ouvrières galiciennes entre 1866 et 1936.
Unha analise da prensa obreira no contexto da histoira do movimento obreiro na Galiza contemporanea.
Óscar Freán Hernández est Maître de Conférences à l'Université de Franche-Comté. Il est spécialiste d'histoire sociale et culturelle contemporaine.
Fiche technique
- ISBN
- 978-2-36783-004-9
- Nb de pages
- 260
- Langue
- Galicien
- Collection
- Universitas
- Date de parution
- 31/08/2013
- Format
- Broché
- Dimensions
- 15,5 x 23,5 cm
- Genre
- Essai - Histoire et société
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MÉMOIRES, TRACES,...Prix 31,90 €
É. Bouzonviller, F. Reviron-Piégay, E. Souvignet (Éds.)
Dans un contexte où règnent de concert « mnémotropisme » et « commémoratisme » ainsi que leur remise en question, il est urgent de réexaminer les choix qui président à la mise en œuvre des traces mémorielles de notre passé. Mémoires, traces, empreintes rassemble les contributions d’anglicistes et d’hispanistes qui explorent les enjeux épistémologiques de la mémoire et de ses représentations, à la croisée du politique, de l’historique, de l’éthique et de l’esthétique. Les contributions de ce volume font dialoguer les siècles et les disciplines sans fermeture méthodologique ni idéologique : théâtre élisabéthain, mémoires contemporains, historiographie de l’Espagne récente, fictions britannique, américaine et espagnole contemporaines, Siècle d’or espagnol, récits des diasporas, poésie et photographie espagnoles du XXe siècle, architecture américaine du XXIe sont convoqués tour à tour afin de mettre en lumière les processus complexes à l’œuvre dans tout récit sur la mémoire.
Aborder la mémoire dans ses relations à la trace et à l’empreinte suppose d’analyser la mise en récit de la mémoire, qu’elle soit collective ou individuelle, incarnée ou désincarnée, volontaire ou involontaire, historicisée ou déshistoricisée, d’où une prépondérance des contributions dédiées à la littérature, à l’art et à l’histoire.
Du traumatisme vers la jouissance et la célébration des sens, de la matérialité lourde du monument mémoriel vers la puissance imaginative de la fiction, ce volume offre un parcours de lecture dynamique qui traduit bien les paradoxes de son sujet.
Auteurs : A. Alted Vigil, C. Bigot, É. Bouzonviller, A. Chirol To, G. coste, G. del Vecchio, J. Fintzel, S. Lejri, J. Matteson, N.K. Miller, C. Orobitg, M. Pawlicki, F. reviron-Piègay, S.L. Riemenscheider, V. Allen-Terry Sherman, S. Sitayeb, J. Soubeyroux, E. Souvignet.
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Ensayo sobre (re)creación intermedial
par Emmanuel Marigno
2 volumes en coffret
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M. V. Villaverde
Livre peu connu, si ce n’est inconnu, le texte de María Victoria Villaverde semble être resté hors-champ des livres sur la guerre civile espagnole. Hors-champ également des témoignages sur l’Espagne du xxe siècle racontés d’un point de vue enfantin. Enfants de la guerre, regards de femmes, Trois temps et l’espérance relève de ces catégories et d’une génération dans lesquelles María Victoria Villaverde côtoie Carmen Laforet ou Elena Quiroga, Carmen Martin Gaite ou Ana María Matute, toutes sont nées dans les années 20, et partage avec ces auteures l’ambition de raconter par le regard d’une petite fille, puis d’une adolescente et enfin d’une jeune femme, ces quelques années qui ont à jamais bouleversé l’Espagne et sa vie personnelle comme celles de millions d’Espagnols. Mais elle le fait depuis l’exil, depuis le militantisme et l’Argentine, distance qui offrait en 1962, date de publication de son livre, une liberté inimaginable pour les auteures et auteurs vivant en Espagne. Depuis cette autre rive, María Victoria Villaverde raconte donc le regard de la petite fille sur son monde familial puis, élargissant son angle de vue, sur les rites sociaux et les changements en cours dans sa petite ville natale, et lorsque tout son univers s’effondre, la jeune femme choisit finalement de fuir l’asphyxie de l’Espagne de l’après-guerre.
Trois temps et l’espérance est donc un va-et-vient entre la découverte déchirante du monde extérieur et le récit d’enfance, avec ses moments quasi obligés – histoire d’une famille, hétérodoxe et bourgeoise à la fois, portraits de parents, de tantes et de cousines, maisons immenses et protectrices, qui rapetissent à mesure que les enfants grandissent.
Introduction de M. Franco
Traduction, notes et postface de L. Freda -
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Un précédent ouvrage collectif intitulé D’oublis et d’abandons, notes sur l’Amérique latine, (publié dans cette même collection en 2017), envisageait l’abandon comme une des figures possibles de l’oubli et s’attachait à en suivre les traces dans les sociétés latino-américaines passées et actuelles. Une partie des contributions présentées ici s’est intéressée aux discours et aux formes littéraires dans leur rapport à l’oubli. Car, paradoxalement, celui-ci est un puissant moteur de fictionnalisation et joue par métaphore le rôle de la page blanche que l’écrivain remplit au gré de son imagination. C’est donc assez naturellement que la réflexion s’est ensuite portée sur les problématiques de l’historiographie littéraire et du rapport qu’elles entretiennent avec l’oubli. Depuis plus d’une décennie, dans l’Hexagone et ailleurs, des recherches portent sur la constitution du fait littéraire et son historiographie. Nous avons voulu contribuer à cette réflexion en la faisant porter sur les mondes américains, avec des textes sur l’Argentine, le Brésil, le Canada, le Chili, l’Équateur, le Mexique, le Paraguay, l’Uruguay. Ils analysent les interactions qui président à la construction des histoires de la littérature et à leur corollaire que sont les fragments de littératures oubliées.
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Une approche métafictionnelle de l'œuvre du romancier espagnol Juan José Millás.
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Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contemporaine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.
On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977) et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.