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  • Nb de pages: 194
  • Nb de pages: 260
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  • ESPAGNE, TERRE...

    Prix 29,90 €

    B. Brémard, A. Palau (Dirs.)

    Alors qu’au début des années 2000, l’Espagne est le principal pays récepteur de population migrante en Europe, la crise économique de 2008 remet en question l’image d’une « Espagne, terre d’accueil ». Enjeu politique, économique et humain, l’accueil des migrants devient l’objet de discours qui s’opposent, entre connotations positives (exaltation de la solidarité) et négatives (spectre de l’invasion face au repli nationaliste ou sécuritaire). L’opinion publique sur la question de l’immigration se reflète dans les mouvements politiques, les médias et les pratiques artistiques, mais elle évolue aussi grâce aux imaginaires véhiculés par ceux-ci. Et l’imaginaire n’est pas forcément le même selon la terre d’origine du migrant : Europe de l’Est, Afrique ou Amérique hispanique.

    Avec pour objets d’étude les discours politiques et média­tiques mais aussi le roman, le théâtre, les arts visuels et nombre de formes hybrides, les contributions de ce volume, regroupées en trois parties – « Exclusion et cloisonnement : représentations politiques et artistiques de la frontière », « Immigration et interculturalité : la perception des médias », et « La figure du migrant : imaginaires et constructions littéraires » –, proposent de réfléchir à des questionnements qui, en ce début de XXIe siècle, trouveront échos et correspondances bien au-delà de la péninsule ibérique.

    Auteurs : B. Brémard, C. Dutoya-Desmoulière, A. Fernández García, S. Godsland, A. Palau, I. Ouadi-Chouchanme, J. Rodrígues, P. Turrión Borallo.

  • DES GÉNICIDES DANS LE...

    Prix 29,90 €

    É. Lavaud-Fage, C. Orsini-Saillet (Coords.)

    Le XXe siècle espagnol et latino-américain a été marqué par l’instauration de dictatures militaires et par la mise en place de politiques répressives d’une singulière violence. C’est dans ce contexte que, depuis les années 1990-2000 surtout, surgit avec insistance le concept de génocide pour qualifier la barbarie des mesures punitives. Il faut certainement voir dans l’apparition de ce terme dans les aires géographiques de langue espagnole une influence du contexte international dans lequel se tiennent des débats sur l’Holocauste mais il est pourtant vrai que l’utilisation de ce terme ne va pas de soi. En ce qui concerne l’Espagne, par exemple, il s’applique à des politiques de destruction qui visent des groupes non pas ethniques ou religieux, mais politiques. Parfois même il ne s’agit pas de personnes, puisque l’expression de « génocide culturel » est utilisée par des historiens pour évoquer des régions comme la Catalogne ou la Galice dont la langue vernaculaire – entre autres ostracismes – a été proscrite sous le franquisme.
    Ce volume d’Hispanística XX se propose donc d’entrer dans ce débat polémique en essayant de comprendre les raisons qui font qu’il existe, plusieurs décennies après les faits, une demande sociale pour qualifier certains événements historiques de « génocide ».Après une nécessaire mise au point historique et juridique, il rend compte de témoignages et de représentations construites par le biais de l’historiographie, du cinéma, des arts graphiques et de la littérature.

    Auteurs : C. Boix, D. Casimiro, C. González Canalejo, S. Large, E. Larraz, É. Lavaud-Fage, E. Le Vagueresse, J. Marco, N. Narváez Bruneau, X. Nogueira, D. Novati, C. Orsini-Saillet, A. Palau, S.G.H. Roberts.

  • A revolución escrita:...

    Prix 19,90 €

    par Óscar Freán Hernández

    Une analyse de la presse ouvrière galicienne entre 1866 et 1936.

    Ouvrage en langue galicienne

    Préface de Gérard Brey.