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  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

     

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

    Prix 39,95 €

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • Transiciones

    Prix 25,00 €

    En este volumen abordamos de forma transversal el concepto de “transición”. Transiciones que se produjeron en la Edad Media, o más tarde, en los siglos XIX, XX o XXI, en España y en Hispanoamérica. Se trata de distintos tipos de transición: sea religiosa o de la consciencia, sea de tipo lingüístico, literario o identitario  Interrogándonos siempre si estas transiciones se han llevado a buen puerto.

    Según el DRAE, la transición es la “acción y efecto de pasar de un modo de ser o estar a otro distinto”, A esta definición añadiremos la que nos da el CNRTL: “Passage d’un état à un autre”, la cual puede aplicarse a la transición del instinto a la civilización o viceversa; de la condición de dominado a la de dominante, de la de minoría que se “integra” en la mayoría religiosa o a cualquiera de las transiciones políticas que van de la dictadura a la democracia.

    En el CNRTL, encontramos también una segunda definición en la que se tiene en cuenta el modo de pasar de un estado a otro: “Fait de passer graduellement, d’un état à un autre”. En esta segunda acepción, la transición remite a un cambio gradual, contrario a lo que indica la locución adverbial “sans transition”, es decir, pasar de un estado a otro bruscamente. Esta transición gradual la hallamos, por ejemplo, en la estandarización del español en Hispanoamérica. En la tercera acepción, el diccionario francés precisa que existe una gradación o estado intermedio en el proceso de transición: “Degré ou état intermédiaire par lequel se fait le passage d’un état à un autre”. Un estado intermedio que, en algunos casos, se perpetúa sin que se consume la transición.

  • L'ECRIVAIN À L'OEUVRE...

    Prix 34,90 €

         Quels visages et contours l’écrivain à l’oeuvre peut-il revêtir, quelle relation l’écrivain nourrit-il avec son oeuvre ou avec l’oeuvre en général ? C’est en s’appuyant sur le récit de fiction paru en Espagne depuis le XIXe siècle jusqu’à nos jours que les chercheurs et collaborateurs de la Nec+ tentent de répondre à ces questionnements, s’attachant à définir ainsi la figure de l’écrivain non pas en tant qu’auctor – l’auteur dont le nom est associé à l’oeuvre –, mais bien plutôt comme scriptor, cette personne qui matériellement écrit, écrivain-compositeur, parfois même simple copiste, copiste des autres, voire de lui-même, artiste-artisan.

         Azorín, Juan Goytisolo, Juan Marsé, José María Merino, Maruja Torres, Luis Landero, Rafael Chirbes, Arturo Pérez-Reverte, Salvador Gutiérrez Solís, Carmen Posadas, Alejandro López Andrada, Carlos Salem, Fernando Aramburu, César Muñoz Arconada, Jardiel Poncela, Andrés Neuman, Soledad Puértolas, Antonio Muñoz Molina, Ricardo Menéndez Salmón ou Javier Cercas figurent parmi les auteurs ici étudiés.
         Trois témoignages d’écrivains ou biographes espagnols contemporains, José María Merino, Luis Mateo Díez et Manuel Alberca, viennent compléter ces différentes analyses.