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  • Nb de pages: 196
  • Nb de pages: 260
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  • Nb de pages: 740
  • CUERPOS: MIRADAS...

    Prix 59,95 €

    M. I. Waldegaray (Éd.)

    Si los últimos treinta años del siglo xx se interesaron sostenidamente en el estudio de las luchas culturales y en las tramas políticas de lo corporal (en su proyección tanto individual como social), en lo que va del siglo XXI estas lecturas se han expandido al explorar la escrituralidad del cuerpo, no solo como instancia externa que motiva la reflexión teórica o el trabajo artístico, sino también como soporte de valor ritual. Leer el cuerpo, sus representaciones e implicancias ideológicas ofrece un haz de interrogantes relacionados con lenguajes, conceptos, imaginarios y procedimientos diversos que organizan operaciones discursivas y textuales de alcance poético, estético, político. Desde múltiples enfoques y disciplinas, los treinta y ocho artículos de este volumen inscriben sus reflexiones en un amplio cruce de disciplinas: la sociología, la antropología, la historia política y sociocultural, las artes en sus diversas manifestaciones (ficción, ensayo, expresión gráfica, cine).

    Se reúnen aquí las mejores ponencias presentadas durante el XLIII Congreso del Instituto Internacional de Literatura Iberoamericana.

     

    Autores: I. A. Ramos, K. Aubry, F. Bouvet, H. Calderón Mediavilla, V. Campos Donoso, L. Cardona Alarcón, A. Cristi, Lourdes Dávila, P. de Lima Alonso, C. Delacourt, P. Doucet, E. R. Ferrand Verdejo, M. Flores Alemán, A. Fielbaum , A. Freire Ramos, M. Fuentes Leal, P-H. Giraud, A. Hidalgo de Jesús, V. Litvan, R. Musser, B. Natanson, T. Orecchia Havas, I. Pacheco Ortiz, E. Helena Parra Téllez, R. Patriota Ramos, J. Premat, M. J. Punte, B. Estela Ruiz Zaragoza, H. Salcedo Larios, G. Schmitter, L. Senkman, B. Serrano Navarro, M. Torras Francès, C. Vadillo Buenfil, R. Vázquez Díaz, I. Velez, M. I. Waldegaray, O. Y. Zabala Sandoval.

     

    Introducción, Índice y Resúmenes al final de la página (Extraits)

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.

  • DES GÉNICIDES DANS LE...

    Prix 29,90 €

    É. Lavaud-Fage, C. Orsini-Saillet (Coords.)

    Le XXe siècle espagnol et latino-américain a été marqué par l’instauration de dictatures militaires et par la mise en place de politiques répressives d’une singulière violence. C’est dans ce contexte que, depuis les années 1990-2000 surtout, surgit avec insistance le concept de génocide pour qualifier la barbarie des mesures punitives. Il faut certainement voir dans l’apparition de ce terme dans les aires géographiques de langue espagnole une influence du contexte international dans lequel se tiennent des débats sur l’Holocauste mais il est pourtant vrai que l’utilisation de ce terme ne va pas de soi. En ce qui concerne l’Espagne, par exemple, il s’applique à des politiques de destruction qui visent des groupes non pas ethniques ou religieux, mais politiques. Parfois même il ne s’agit pas de personnes, puisque l’expression de « génocide culturel » est utilisée par des historiens pour évoquer des régions comme la Catalogne ou la Galice dont la langue vernaculaire – entre autres ostracismes – a été proscrite sous le franquisme.
    Ce volume d’Hispanística XX se propose donc d’entrer dans ce débat polémique en essayant de comprendre les raisons qui font qu’il existe, plusieurs décennies après les faits, une demande sociale pour qualifier certains événements historiques de « génocide ».Après une nécessaire mise au point historique et juridique, il rend compte de témoignages et de représentations construites par le biais de l’historiographie, du cinéma, des arts graphiques et de la littérature.

    Auteurs : C. Boix, D. Casimiro, C. González Canalejo, S. Large, E. Larraz, É. Lavaud-Fage, E. Le Vagueresse, J. Marco, N. Narváez Bruneau, X. Nogueira, D. Novati, C. Orsini-Saillet, A. Palau, S.G.H. Roberts.

  • A revolución escrita:...

    Prix 19,90 €

    par Óscar Freán Hernández

    Une analyse de la presse ouvrière galicienne entre 1866 et 1936.

    Ouvrage en langue galicienne

    Préface de Gérard Brey.