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  • DU PÉNINDENTÈME AU MOT...

    Après un état des lieux de la question et des définitions de « faux amis », cet ouvrage tente de retenir des critères permettant d’élargir la notion de paronymes et homonymes interlinguistiques, au périmètre sémantique partiellement ou totalement discordant (faux amis sémantiques). Elle est étendue aux paronymes (parophones et parographes) synonymes interlinguistiques (faux amis phonographiques) et aux faux amis morphosyntaxiques (de rection ou de genre discordants entre les deux langues). Des explications des raisons des écarts observés sont alors avancées. Partant des études déjà menées et des dictionnaires publiés en la matière, il est dressé un inventaire actualisé de près de 3000 vocables (le plus important à ce jour). Pour finir, des pistes d’étude objective et exhaustive de la question sont proposées, prenant notamment en compte la notion, souvent éludée, de risque de confusion.

     

    Stéphane Oury est agrégé de l’université, traducteur assermenté, et maître de conférences (HDR) à l’université de Lorraine. Spécialiste de linguistique hispanique, ses travaux portent sur la traduction et la lexicologie, et plus précisément sur la néologie, notamment l’emprunt linguistique. Il est l’auteur de nombreux articles et ouvrages à ce sujet.

  • DU PÉNINDENTÈME AU MOT...

    Prix 39,95 €

    Après un état des lieux de la question et des définitions de « faux amis », cet ouvrage tente de retenir des critères permettant d’élargir la notion de paronymes et homonymes interlinguistiques, au périmètre sémantique partiellement ou totalement discordant (faux amis sémantiques). Elle est étendue aux paronymes (parophones et parographes) synonymes interlinguistiques (faux amis phonographiques) et aux faux amis morphosyntaxiques (de rection ou de genre discordants entre les deux langues). Des explications des raisons des écarts observés sont alors avancées. Partant des études déjà menées et des dictionnaires publiés en la matière, il est dressé un inventaire actualisé de près de 3000 vocables (le plus important à ce jour). Pour finir, des pistes d’étude objective et exhaustive de la question sont proposées, prenant notamment en compte la notion, souvent éludée, de risque de confusion.

     

    Stéphane Oury est agrégé de l’université, traducteur assermenté, et maître de conférences (HDR) à l’université de Lorraine. Spécialiste de linguistique hispanique, ses travaux portent sur la traduction et la lexicologie, et plus précisément sur la néologie, notamment l’emprunt linguistique. Il est l’auteur de nombreux articles et ouvrages à ce sujet.

  • FICCIÓN Y CIENCIA

    Prix 39,95 €

    M. Kunz, S. Rosa (Eds.)

    Ficción y ciencia son consideradas a menudo como ámbitos antagónicos que oponen la libre invención de historias a la exigencia de fundar todas las aserciones en hechos y datos veri­ficables. La ciencia y los científicos, sin embargo, han sido a menudo objeto de obras de ficción, también en los países hispanohablantes, por ejemplo en forma de especulaciones y reflexiones sobre las posibilidades y los límites de la ciencia (sobre todo en la literatura fantástica y la ciencia fic­ción), en el uso de métodos científicos o pseudocientíficos para resolver problemas de la trama, en hipótesis sobre las consecuencias futuras positivas (eutopías) y negativas (distopías) de las actuales tendencias científicas innovadoras, en la representación narrativa o dramática/fílmica de la compleja figura del científico como inves­tigador y/o profesor (genia­lidad, filan­tropía, megalomanía, utopismo, dogmatismo, perver­sión, locura, etc.) y su papel en socie­dades que necesitan su trabajo al mismo tiempo que lo cuestionan críticamente.

    Autores: N. Álvarez Mendez, M. E. Carrillo García, M. Cedeño Rojas, M. Cheguhem Riani, J. Chen Sham, N. Crocoll, M. Damonte Luzi, D.A. Galván Camacho, E. Geneau, M. Kunz, N. Licata, C. Londoño Poaño, T. López-Pellisa, O. Martínez Agís, C. Martínez Torres, A. Mascorro Yago, C. Mondragón, E. Orduña Fernández, B. Palacios, M. Remón-Raillard, S. Rosa, V. Seminario, M. X. Venturini

  • TROIS TEMPS ET...

    Prix 26,00 €

    M. V. Villaverde

    Livre peu connu, si ce n’est inconnu, le texte de María Victoria Villaverde semble être resté hors-champ des livres sur la guerre civile espagnole. Hors-champ également des témoignages sur l’Espagne du xxe siècle racontés d’un point de vue enfantin. Enfants de la guerre, regards de femmes, Trois temps et l’espérance relève de ces catégories et d’une génération dans lesquelles María Victoria Villaverde côtoie Carmen Laforet ou Elena Quiroga, Carmen Martin Gaite ou Ana María Matute, toutes sont nées dans les années 20, et partage avec ces auteures l’ambition de raconter par le regard d’une petite fille, puis d’une adolescente et enfin d’une jeune femme, ces quelques années qui ont à jamais bouleversé l’Espagne et sa vie personnelle comme celles de millions d’Espagnols. Mais elle le fait depuis l’exil, depuis le militantisme et l’Argentine, distance qui offrait en 1962, date de publication de son livre, une liberté inimaginable pour les auteures et auteurs vivant en Espagne. Depuis cette autre rive, María Victoria Villaverde raconte donc le regard de la petite fille sur son monde familial puis, élargissant son angle de vue, sur les rites sociaux et les changements en cours dans sa petite ville natale, et lorsque tout son univers s’effondre, la jeune femme choisit finalement de fuir l’asphyxie de l’Espagne de l’après-guerre. 

    Trois temps et l’espérance est donc un va-et-vient entre la découverte déchirante du monde extérieur et le récit d’enfance, avec ses moments quasi obligés – histoire d’une famille, hétérodoxe et bourgeoise à la fois, portraits de parents, de tantes et de cousines, maisons immenses et protectrices, qui rapetissent à mesure que les enfants grandissent.

    Introduction de M. Franco
    Traduction, notes  et postface de L. Freda

  • MADRID CIUDAD-IMÁN....

    Prix 29,90 €

    P. Bravo, J.S. Duran Froix, P.P. Grégorio (Coords.)

    Depuis l’origine, une suspicion d’illégitimité semble peser sur Madrid capitale, ville parvenue qui, orpheline de droits historiques particuliers, aurait imposé sa préséance au reste de la Nation. Ville-aimant, capable d’attirer et de repousser, Madrid possède l’indéniable pouvoir d’aspirer des cohortes d’hommes et de femmes, étrangers à son idiosyncrasie mais animés d’espoirs de promotion sociale ou culturelle et qui, progressivement, façonneront son visage. Mais elle peut aussi symboliser, pour ceux qui ailleurs en Espagne manifestent leur désir d’une identité propre, la séculaire volonté de rejet de toute individualité jugée non conforme, née d’un arbitraire royal, celui de Philippe II, en 1561. L’originalité des travaux rassemblés dans cet ouvrage tient au large prisme adopté (gros plans sur le Madrid des XIXe et XXe siècles précédés par deux articles de contextualisation historique) ainsi qu’aux points de vue multiples évoquant la façon dont Espagnols et étrangers perçoivent la ville et rendent compte de la multiplicité de visages d’un Madrid protéiforme et kaléidoscopique, irrationnel, toujours inachevé.

    Auteurs : H. Bismuth, P. Bravo, B. Bramard, S. Buj, R.S. Coale, J.S. Duran Froix, P.P. Grégorio, C. Iglesias, V. Liard, J. Luengo López, P. Montoliú, A. Palau.