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  • Nb de pages: 356 p.
  • EMPREINTES D'AILLEURS...

    Bénédicte Brémard & Alexandra Palau (Ed.)

     

    Les pays de langue espagnole ont connu depuis le XXsiècle différentes vagues migratoires : de l’exil politique aux migrations économiques, au sein du monde hispanophone ou en contact avec un Ailleurs linguistique (Europe, Amérique du Nord, Afrique, etc.).

    Quelles empreintes culturelles ces mouvements migratoires et cette présence linguistique laissent-ils dans les territoires qui accueillent ces mouvements d’allers-retours ? Quelles transformations induisent-ils sur les imaginaires sociaux et nationaux ? Dans une société multiculturelle, l’identité est-elle choix, héritage ou simple reflet d’un manque ?

    Face à une logique de l’effacement et de l’invisibilité de la condition d’étranger, cet ouvrage a pour objectif de rendre compte de la complexité mais aussi de la richesse de ces processus d’hybridation qui impliquent rencontres/interactions culturelles et reconnaissance de l’altérité.

    À travers la littérature, la civilisation, les arts visuels et la linguistique, les quatorze contributions de ce volume tentent d’ouvrir un espace vers l’Ailleurs et soulèvent de nouveaux questionnements. L’art peut-il vraiment dénoncer les injustices ou simplement les représenter ? Peut-il changer le monde – ou tout au plus notre perception du monde ? Parler de l’Autre, ou pour l’Autre, n’est-ce pas déjà, un peu l’utiliser ?

    Auteurs : Carmen Becerra, Carmen Bellas, Alberto Berzosa, Bénédicte Brémard, Brice Castanon-Akrami, David Crémaux-Bouche, Flora Guinot, Émilie Guyard, Miguel Ángel Hernández, Nadège Juan, Emmanuel Le Vagueresse, Laureano Montero, Catherine Orsini-Saillet, Alexandra Palau, Myriam Roche, John D. Sanderson.

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  • EMPREINTES D'AILLEURS...

    Prix 29,95 €

    Bénédicte Brémard & Alexandra Palau (Ed.)

     

    Les pays de langue espagnole ont connu depuis le XXe siècle différentes vagues migratoires : de l’exil politique aux migrations économiques, au sein du monde hispanophone ou en contact avec un Ailleurs linguistique (Europe, Amérique du Nord, Afrique, etc.).

    Quelles empreintes culturelles ces mouvements migratoires et cette présence linguistique laissent-ils dans les territoires qui accueillent ces mouvements d’allers-retours ? Quelles transformations induisent-ils sur les imaginaires sociaux et nationaux ? Dans une société multiculturelle, l’identité est-elle choix, héritage ou simple reflet d’un manque ?

    Face à une logique de l’effacement et de l’invisibilité de la condition d’étranger, cet ouvrage a pour objectif de rendre compte de la complexité mais aussi de la richesse de ces processus d’hybridation qui impliquent rencontres/interactions culturelles et reconnaissance de l’altérité.

    À travers la littérature, la civilisation, les arts visuels et la linguistique, les quatorze contributions de ce volume tentent d’ouvrir un espace vers l’Ailleurs et soulèvent de nouveaux questionnements. L’art peut-il vraiment dénoncer les injustices ou simplement les représenter ? Peut-il changer le monde – ou tout au plus notre perception du monde ? Parler de l’Autre, ou pour l’Autre, n’est-ce pas déjà, un peu l’utiliser ?

    Auteurs : Carmen Becerra, Carmen Bellas, Alberto Berzosa, Bénédicte Brémard, Brice Castanon-Akrami, David Crémaux-Bouche, Flora Guinot, Émilie Guyard, Miguel Ángel Hernández, Nadège Juan, Emmanuel Le Vagueresse, Laureano Montero, Catherine Orsini-Saillet, Alexandra Palau, Myriam Roche, John D. Sanderson.

    Introduction et Sommaire en bas de page (Extraits)

  • LOS POETAS Y EL...

    Prix 31,00 €

    E. Baena

    El espíritu del tiempo, como fundamentación de la sensibilidad en la poética histórica hasta alcanzar la más moderna y contemporánea, conforma el leitmotiv en este libro. Desde Goethe, que en nuestro juicio alcanza la visión de Antonio Machado, como con la escisión más simbólica de Nietzsche, se conforma la herencia literaria moderna de una sucesividad que permanece en el núcleo de la creación actual. Y en épocas precedentes, la formación del clasicismo no fue sino la conquista de una invisibilidad, de un legado presentido, que también entrañaba lo paródico, la ironía y la paradoja: Cervantes, Molière, Shakespeare... Ello resuena en el eco conceptista, en la lírica de Quevedo, integrándose su voz en la mejor poesía española contemporánea: un florecimiento de retorno en las letras que, desde el siglo áureo, emite el claro mensaje que personifica el afán estético por no perecer. Caído el prodigio, y tras el racionalismo, el sujeto y su delirio se revelan y adviene el idealismo, y en ese devenir la poesía será ucrónica, sumergiendo el sueño en la irrealidad hasta llegar a las Vanguardias. Una inmensidad contemporánea de escenarios abiertos, en la poética y el sueño, o en el legado romántico, de Keats, de Hölderlin, en la poesía existencial. La temporalidad histórica se hace asimismo compromiso, siendo ese Sein und Zeit heideggeriano, ante la conciencia confinada en lo temporal, su deseada liberación. María Zambrano indagó en este confinamiento hasta desvelar que en la lucidez de la poesía, en lo más nuclear, radica la filosofía; y el yo es su emisario, a veces personal y a veces desconocido, sagrado o remoto, discurriendo por las eras, culturas y épocas. Sus huellas en el presente novedoso revierten en la historicidad de la conciencia literaria, conditio sine qua non de la  transmisión poética.

  • Ergo sum: Blas de...

    Prix 24,90 €

    Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contem­poraine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.

    On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977)  et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.