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  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

     

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

    Prix 39,95 €

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • DOGMES ET PARADIGMES...

    Prix 31,90 €

    I. Billoo (Dir.)

    Plus mystérieuse qu’il n’y paraît, la marginalité bouleverse, selon l’époque, le sens du périphérique. Penser le marginal serait donc une expérience qui défie les limites du contexte où il surgit car l’entrée en scène de ce sujet « à part » trouble la linéarité des événements et produit une rupture lorsque nous le repensons comme l’ineffable épuisement de nos systèmes de référence. Dans cet ouvrage, les auteurs se sont proposés de réexaminer les diverses manifestations du marginal dans les arts et la littérature hispanique contemporaine. Aussi nous révèlent-ils dans leur analyse d’artistes ou d’écrivains contemporains (Vicente Blasco Ibánez, Fernando Aramburu, Francisco Umbral, Javier Moro, William Ospina, Julian Rios, Angélica Liddell, Isabel Coixet, etc.) que la marginalité s’inscrit dans une temporalité discontinue qui ne peut se résumer en son individualité. 

  • RÉALISME(S) DANS LA...

    Prix 34,90 €

    X. Escudero, N. Noyaret, P. Peyraga (Éds.)

    Soupçonnant le réalisme d’être beaucoup plus complexe et opaque qu’il n’y paraît, d’être capable de se redéfinir et de se réinventer avec chaque époque pour mieux bouleverser alors notre vision et notre compréhension du réel, les chercheurs de la NEC+ se sont proposé ces dernières années d’observer l’évo-lution et les diverses manifestations du réalisme dans le cadre de la fiction narrative espagnole des XIXe, XXe et XXIe siècles. 

    Aussi nous livrent-ils ici une vingtaine d’études embrassant un large éventail d’écrivains (Emilia Pardo Bazán, Leopoldo Alas, Vicente Blasco Ibáñez, Pío Baroja, Rosa Chacel, Ana María Matute, Elena Quiroga, Alfons Cervera, Fernando Aramburu, Francisco Umbral, Marta Sanz, Cristina Morales, Pablo Gutiérrez, José Ovejero, Elvira Navarro, Gustavo Martín Garzo, Juan Bonilla, Juan Jacinto Muñoz Rengel, Alejandro López Andrada, Juan Marsé et d’autres encore) dont la « veine réaliste » est chaque fois questionnée ou repensée.

    Autant d’études, et une réflexion collective, qui prennent ap-pui sur le précieux éclairage apporté par Geneviève Champeau sur « quelques clichés sur le réalisme » et sur le passionnant témoignage des écrivains Isaac Rosa et Marta Sanz, enclins à se demander si le réalisme est toujours une représentation du réel.

    Auteurs : D. Becerra Mayor, S. Benneouala, B. Cerdá Zanar, E. Chipi, D. Crémaux-Bouche, M. Delannoy, E. Diaz, C. Di Benedetto, G. Dubois, X. Escudero, L. Freda, M. García-Farré, D. García-Ponce, L. garino-Abel, A. Godoy Cossío, M. Gourgues, A.S. Gullo, C. Mena, N. Noyaret, I. Rosa, P. Peyraga, J.R. Precioso, M. Sanz, V. Tettamanti.