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  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

     

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

    Prix 39,95 €

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • FIGURES DU SANG DANS...

    É. Belmas, C. Jori, C. Lucas Fiorato, S. Pech-Pelletier, S. Perez, J. Ruimi, H. Tropé (Éd.) 

    Croisant perspectives historiques, figurations littéraires et expressions iconographiques, le présent ouvrage analyse les regards portés sur le sang, de la première modernité à aujourd’hui, au sein d’un espace comprenant l’Espagne, la France et l’Italie. À partir d’exemples exploités du point de vue de l’histoire, des langues et des cultures, quatre thèmes sont abordés : la question de la pureté du sang, les conceptions et les pratiques relevant des sciences médicales, la diversité des représentations par les arts et les lettres et, enfin, l’approche sacrée, religieuse du sang comme siège de l’âme.

    Auteurs : M. Bellotti, E. Belmas, P. Casassus, S. Chaker, E. Ciccarella, A. Etienney — de Sainte Marie, P. Giuliani, B. Gruet, S. Houdard, C. Jori, X. Le Person, C. Lucas Fiorato, S. Pech-Pelletier, N. Peyrebonne, S. Perez, A.-S. Pimpaud, V. Ponzetto, J. Ruimi, D. Sangu, Z. Schweitzer, M. Tausiet, H. Tropé, S. Tullio Cataldo.

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  • DOGMES ET PARADIGMES...

    Prix 31,90 €

    I. Billoo (Dir.)

    Plus mystérieuse qu’il n’y paraît, la marginalité bouleverse, selon l’époque, le sens du périphérique. Penser le marginal serait donc une expérience qui défie les limites du contexte où il surgit car l’entrée en scène de ce sujet « à part » trouble la linéarité des événements et produit une rupture lorsque nous le repensons comme l’ineffable épuisement de nos systèmes de référence. Dans cet ouvrage, les auteurs se sont proposés de réexaminer les diverses manifestations du marginal dans les arts et la littérature hispanique contemporaine. Aussi nous révèlent-ils dans leur analyse d’artistes ou d’écrivains contemporains (Vicente Blasco Ibánez, Fernando Aramburu, Francisco Umbral, Javier Moro, William Ospina, Julian Rios, Angélica Liddell, Isabel Coixet, etc.) que la marginalité s’inscrit dans une temporalité discontinue qui ne peut se résumer en son individualité.