Tous nos livres

Filtres actifs

  • Nb de pages: 300
  • Nb de pages: 314
  • Nb de pages: 314
  • Nb de pages: 356 p.
  • EMPREINTES D'AILLEURS...

    Bénédicte Brémard & Alexandra Palau (Ed.)

     

    Les pays de langue espagnole ont connu depuis le XXsiècle différentes vagues migratoires : de l’exil politique aux migrations économiques, au sein du monde hispanophone ou en contact avec un Ailleurs linguistique (Europe, Amérique du Nord, Afrique, etc.).

    Quelles empreintes culturelles ces mouvements migratoires et cette présence linguistique laissent-ils dans les territoires qui accueillent ces mouvements d’allers-retours ? Quelles transformations induisent-ils sur les imaginaires sociaux et nationaux ? Dans une société multiculturelle, l’identité est-elle choix, héritage ou simple reflet d’un manque ?

    Face à une logique de l’effacement et de l’invisibilité de la condition d’étranger, cet ouvrage a pour objectif de rendre compte de la complexité mais aussi de la richesse de ces processus d’hybridation qui impliquent rencontres/interactions culturelles et reconnaissance de l’altérité.

    À travers la littérature, la civilisation, les arts visuels et la linguistique, les quatorze contributions de ce volume tentent d’ouvrir un espace vers l’Ailleurs et soulèvent de nouveaux questionnements. L’art peut-il vraiment dénoncer les injustices ou simplement les représenter ? Peut-il changer le monde – ou tout au plus notre perception du monde ? Parler de l’Autre, ou pour l’Autre, n’est-ce pas déjà, un peu l’utiliser ?

    Auteurs : Carmen Becerra, Carmen Bellas, Alberto Berzosa, Bénédicte Brémard, Brice Castanon-Akrami, David Crémaux-Bouche, Flora Guinot, Émilie Guyard, Miguel Ángel Hernández, Nadège Juan, Emmanuel Le Vagueresse, Laureano Montero, Catherine Orsini-Saillet, Alexandra Palau, Myriam Roche, John D. Sanderson.

    Cliquez Extraits pour télécharger le PDF

  • EMPREINTES D'AILLEURS...

    Prix 29,95 €

    Bénédicte Brémard & Alexandra Palau (Ed.)

     

    Les pays de langue espagnole ont connu depuis le XXe siècle différentes vagues migratoires : de l’exil politique aux migrations économiques, au sein du monde hispanophone ou en contact avec un Ailleurs linguistique (Europe, Amérique du Nord, Afrique, etc.).

    Quelles empreintes culturelles ces mouvements migratoires et cette présence linguistique laissent-ils dans les territoires qui accueillent ces mouvements d’allers-retours ? Quelles transformations induisent-ils sur les imaginaires sociaux et nationaux ? Dans une société multiculturelle, l’identité est-elle choix, héritage ou simple reflet d’un manque ?

    Face à une logique de l’effacement et de l’invisibilité de la condition d’étranger, cet ouvrage a pour objectif de rendre compte de la complexité mais aussi de la richesse de ces processus d’hybridation qui impliquent rencontres/interactions culturelles et reconnaissance de l’altérité.

    À travers la littérature, la civilisation, les arts visuels et la linguistique, les quatorze contributions de ce volume tentent d’ouvrir un espace vers l’Ailleurs et soulèvent de nouveaux questionnements. L’art peut-il vraiment dénoncer les injustices ou simplement les représenter ? Peut-il changer le monde – ou tout au plus notre perception du monde ? Parler de l’Autre, ou pour l’Autre, n’est-ce pas déjà, un peu l’utiliser ?

    Auteurs : Carmen Becerra, Carmen Bellas, Alberto Berzosa, Bénédicte Brémard, Brice Castanon-Akrami, David Crémaux-Bouche, Flora Guinot, Émilie Guyard, Miguel Ángel Hernández, Nadège Juan, Emmanuel Le Vagueresse, Laureano Montero, Catherine Orsini-Saillet, Alexandra Palau, Myriam Roche, John D. Sanderson.

    Introduction et Sommaire en bas de page (Extraits)

  • MOTS ET CORPS BIBLIQUES

    Prix 34,90 €

    I. Bouchiba-Fochesato, M. Santa-Cruz (Éds.)

    Les liens qui unissent la littérature et le texte biblique ne sont plus à démontrer ; ils ont fait, au cours des siècles, l’objet de nombreuses exégèses, de propositions de typologie et de tentatives de classification. La Bible apparaît alors comme le Texte des textes, une source intarissable auprès de laquelle l’artiste revient sans cesse s’abreuver, une matrice originelle. Le matériau biblique est alors réinvesti soit dans une optique religieuse afin d’instruire et d’édifier les esprits par la parole divine soit, au contraire, pour les détourner de croyances ou de superstitions qui enchainent le peuple.  

    Les chercheuses et chercheurs qui ont contribué à cet ouvrage proposent de dépasser la seule recherche de sources ou d’intertextes bibliques, indéniablement présents et fondamentaux, pour s’intéresser à la Bible dans son ensemble, comme structure ou « hyperstructure » qui féconde toute la modernité littéraire. Les travaux ici rassemblés abordent des textes aussi bien espagnols qu’hispano-américains, classiques et contemporains, de prose et de poésie et s’appuient sur des outils d’analyse divers : linguistique, narratologie, littéralité, psychocritique, etc. Ces différentes grilles de lecture et exemples font tous émerger cette trame de fond biblique, consciente ou inconsciente, assumée ou simple écho lointain, qui tisse un profond réseau de symboles et de références particulièrement fertile. 

    Auteurs : M. Bernède, I. Bouchiva-fochesato, F. Bravo, D. Breton, F. Gilbert, M.E. Kaufmant, P. Meunier, E. Moron, P. Rabaté, T. Rodríguez, N. Rodríguez Lázaro, L. Sánchez de las Cuevas, M. Santa-Cruz, B. Seray.

  • Ergo sum: Blas de...

    Prix 24,90 €

    Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contem­poraine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.

    On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977)  et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.