Tous nos livres
-
PAISAJES GÓTICOS. DE...
Prix 29,95 €M. Kunz, J. M. Sardiñas (Eds.)
Contemplando la obra cervantina a través de la de Mary Shelley, apelando a textos de autores tan dispares como James Hogg, Gustavo Adolfo Bécquer, Gertrudis Gómez de Avellaneda, Arthur Machen, Mauricio Montiel Figueiras, Amado Nervo, Elvio E. Gandolfo, Alberto Chimal, César Vallejo o Guillermo del Toro y bajo el hilo director de lo gótico y lo fantástico, este libro reúne, en una selección significativa, algunas de las ponencias leídas en el décimo CILF (Coloquios Internacionales de Literatura Fantástica) celebrado en Lausana del 4 al 7 de junio de 2013.
Autores: A. Moro, Ó. Martínez Agíss, Y. Rodríguez Cabrera, R. Charques Gámez, M. Kunz, J.M. Rezai Dubiel, I. López Martínez, A.M. Sánchez Ambriz, D. Phillipps-López, A. Ortiz, M.L. Gracía, J. Tercero Andrade, M. Nava, M. Cedeño Rojas, M.E. Filer, C. Mondragón.
-
Ergo sum: Blas de...
Prix 24,90 €Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contemporaine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.
On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977) et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.
