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  • Nb de pages: 356 p.
  • Nb de pages: 379
  • Nb de pages: 438
  • PRENDRE CORPS, DIRE LE...

    Prix 34,90 €

    B.  Brémard (Dir.)

    Que représente le corps dans le monde hispanique contemporain ? Contrôlé voire anéanti ou effacé par des régimes totalitaires, libéré jusqu’à l’excès par la fin de la censure, enjeu politique ou arme de communication, objet de préoccupations scientifiques ou sociales (pour le soigner, le reconstruire, le rajeunir, le modifier), le corps peut-il encore porter l’identité individuelle ou la mémoire collective ?

    Avec pour objets d’études le cinéma, la vidéo, la littérature, les arts visuels ou le flamenco, les vingt-deux contributions de ce volume, regroupées en cinq parties : « Le corps et la norme », « Corps en construction/corps en destruction », « Corps et identité nationale », « Corps et genres artistiques » et « Le corps à l’avant-garde », proposent de réfléchir à ces questionnements et nous montrent que, du début du XXe siècle à nos jours, sous le regard des artistes, le corps n’a cessé de créer le trouble et d’interroger notre rapport aux genres, aux modèles, les limites de notre tolérance et nos liens au vivant.

    Auteurs : C. Becerra Suárez, C. Belmonte Grey, J.P. Campillo, C. Cristini, M. Delannoy, P. Doucet, A.J. Gil González, S. Kerfa, L. Lavergne, E. Le Vagueresse, L. Montero, X. Nogueira, A. Pestaña, O. Pierrugues, R. Previtera, S. Pruvost, J. Rodrigues, M. Rodríguez Avis, S. Rodríguez, L. Royer, J. Sánchez, P. Turrión Borallo.

  • HISTOIRES DE...

    Prix 31,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Familles... Si le terme paraît des plus « familiers » – comme s’il allait de soi –, si tout le monde a sa propre représentation et sa propre expérience de la famille, il est pourtant de plus en plus malaisé d’en donner une définition universellement satisfaisante. Les dernières décennies ont, en effet, été marquées par de profonds bouleversements qui se traduisent en termes d’éclatement ou de recomposition de la traditionnelle famille nucléaire. Il semblerait que l’on soit passé de la Famille à des familles qui se déclinent selon une pluralité de modèles. À partir de ce constat, le présent volume se propose d’interroger le concept de « famille », avec ses histoires, ses secrets, ses configurations multiples, ses liens de sang ou de cœur, ses petits bonheurs et ses grands drames, dans un contexte linguistique, géographique et culturel précis – le monde hispanique contemporain – et autour de trois grands axes de réflexion : l’aspect linguistique, le rapport entre les histoires de familles et l’Histoire, pour finir avec les mutations (subversives ?) d’une famille placée « sur la sellette ». Ce parcours rend ainsi compte, à travers la langue, l’histoire culturelle et les arts, des multiples sens et des diverses configurations de la famille qui continue d’être une source d’inspiration inépuisable dans le monde contemporain.

    Auteurs : A. Abuín González, N. Aït Bachir, M. Álvarez, F. Bellido Peris, N. Besse, B. Brémard, M. Delannoy, H. Fretel, E. Larraz, A. López, L. Montero, X. Nogueira, N. Noyaret, In. Real López, A. Oddo, W. Orozco, S. Oury, G. Palomar, A. Pestaña, B. Riestra,  J. Rodrigues, A.R. Antequera, L. Royer, J. Sánchez, I. Villarmea, C. Viñals.

  • Ergo sum: Blas de...

    Prix 24,90 €

    Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contem­poraine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.

    On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977)  et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.