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  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

     

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

    Prix 39,95 €

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • RÉALISME(S) DANS LA...

    Prix 34,90 €

    X. Escudero, N. Noyaret, P. Peyraga (Éds.)

    Soupçonnant le réalisme d’être beaucoup plus complexe et opaque qu’il n’y paraît, d’être capable de se redéfinir et de se réinventer avec chaque époque pour mieux bouleverser alors notre vision et notre compréhension du réel, les chercheurs de la NEC+ se sont proposé ces dernières années d’observer l’évo-lution et les diverses manifestations du réalisme dans le cadre de la fiction narrative espagnole des XIXe, XXe et XXIe siècles. 

    Aussi nous livrent-ils ici une vingtaine d’études embrassant un large éventail d’écrivains (Emilia Pardo Bazán, Leopoldo Alas, Vicente Blasco Ibáñez, Pío Baroja, Rosa Chacel, Ana María Matute, Elena Quiroga, Alfons Cervera, Fernando Aramburu, Francisco Umbral, Marta Sanz, Cristina Morales, Pablo Gutiérrez, José Ovejero, Elvira Navarro, Gustavo Martín Garzo, Juan Bonilla, Juan Jacinto Muñoz Rengel, Alejandro López Andrada, Juan Marsé et d’autres encore) dont la « veine réaliste » est chaque fois questionnée ou repensée.

    Autant d’études, et une réflexion collective, qui prennent ap-pui sur le précieux éclairage apporté par Geneviève Champeau sur « quelques clichés sur le réalisme » et sur le passionnant témoignage des écrivains Isaac Rosa et Marta Sanz, enclins à se demander si le réalisme est toujours une représentation du réel.

    Auteurs : D. Becerra Mayor, S. Benneouala, B. Cerdá Zanar, E. Chipi, D. Crémaux-Bouche, M. Delannoy, E. Diaz, C. Di Benedetto, G. Dubois, X. Escudero, L. Freda, M. García-Farré, D. García-Ponce, L. garino-Abel, A. Godoy Cossío, M. Gourgues, A.S. Gullo, C. Mena, N. Noyaret, I. Rosa, P. Peyraga, J.R. Precioso, M. Sanz, V. Tettamanti.

  • L'ECRIVAIN À L'OEUVRE...

    Prix 34,90 €

         Quels visages et contours l’écrivain à l’oeuvre peut-il revêtir, quelle relation l’écrivain nourrit-il avec son oeuvre ou avec l’oeuvre en général ? C’est en s’appuyant sur le récit de fiction paru en Espagne depuis le XIXe siècle jusqu’à nos jours que les chercheurs et collaborateurs de la Nec+ tentent de répondre à ces questionnements, s’attachant à définir ainsi la figure de l’écrivain non pas en tant qu’auctor – l’auteur dont le nom est associé à l’oeuvre –, mais bien plutôt comme scriptor, cette personne qui matériellement écrit, écrivain-compositeur, parfois même simple copiste, copiste des autres, voire de lui-même, artiste-artisan.

         Azorín, Juan Goytisolo, Juan Marsé, José María Merino, Maruja Torres, Luis Landero, Rafael Chirbes, Arturo Pérez-Reverte, Salvador Gutiérrez Solís, Carmen Posadas, Alejandro López Andrada, Carlos Salem, Fernando Aramburu, César Muñoz Arconada, Jardiel Poncela, Andrés Neuman, Soledad Puértolas, Antonio Muñoz Molina, Ricardo Menéndez Salmón ou Javier Cercas figurent parmi les auteurs ici étudiés.
         Trois témoignages d’écrivains ou biographes espagnols contemporains, José María Merino, Luis Mateo Díez et Manuel Alberca, viennent compléter ces différentes analyses.