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  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

     

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • LUIS CERNUDA. EXIL ET...

    Prix 39,95 €

    Nuria Rodríguez Lázaro

     

    L’œuvre poétique de Luis Cernuda est fondée sur la notion de l’impossible réalisation du désir, mais il semble que l’origine de ce conflit essentiel entre la réalité et le désir se trouve dans la conscience qu’a Cernuda de vivre un perpétuel exil. Un « moi » séparé du monde, d’abord, puis séparé de sa terre natale, se concrétise sur la page sous la forme d’une déchi-rure, et ceci produit une diction très particulière de l’exil, qui devient le moteur créateur de toute l’œuvre.

       Cet ouvrage portera sur le traitement poétique — c’est-à-dire langagier — de l’exil dans l’œuvre cernudienne. Ceci im-plique de situer le poète en son temps, dans ses liens avec l’Histoire espagnole, mais aussi et avant tout dans le but de définir une poétique, un art d’écrire, en identifiant les procédures qui étayent la construction d’un mythe de l’exil, non pas comme une image monolithique mais comme un parcours langagier.

  • OR, TRÉSOR, DETTE. LES...

    Prix 31,90 €

    H. Tropé (Éd.)

    Croisant perspectives historiques et représentations littéraires et icono­graphiques, le Centre de Recherche sur l’Espagne des XVIe et XVIIe siècles (CRES-LECEMO-EA 3979) présente ici les résultats de recherches menées de 2011 à 2015 autour du thème «Or, trésor, dette. Les valeurs dans l’Espagne des XVIe et XVIIe siècles». Ces thèmes sont abordés du point de vue historique, social et religieux: libéralité royale, faux-monnayage, richesse et pauvreté. Sont également étudiés les aspects métaphoriques et symboliques de l’or, ses représentations et ses inversions de sens : l’or métaphore de la pureté mais aussi symbole de la cupidité et de la dépravation. L’ouvrage se penche également sur le thème de l’or et de l’argent dans la littérature péninsulaire classique, sur celui de la fraude, du pillage, du vol. Le trésor caché est analysé sous le prisme de la magie et de la démonologie sans oublier les chercheurs de trésor. Du point de vue linguistique, est aussi étudiée la sémantique des termes « valeur », « argent », « or » et leur mise en œuvre dans les proverbes.
    Cet ensemble de vingt et une contributions de spécialistes permet de mieux cerner l’importance que l’or puis l’argent ont revêtue dans l’Espagne des XVIe et XVIIe siècles –en liaison avec la conquête de l’Amérique– et leur impact sur ce que l’on a appelé la «révolution des prix» du XVIe siècle ; il entreprend de répondre aux multiples questionnements scientifiques que cette riche thématique suscite.

    Auteurs : O. Caposossi, P. Civil, I. Colón Calderón, C. Couderc, F. Delpech, F. Dumora, J. Espejo Surós, J. Gallego Chin, H. Hermant, M.L. Lobato, C. Marguet, A. Merle, N. Peyrebonne, P. Rabaté, A. Redondo, P. Renoux-Caron, F. Richer-Rossi, E. Sánchez García, L. Torres, H. Tropé.

  • L'ECRIVAIN À L'OEUVRE...

    Prix 34,90 €

         Quels visages et contours l’écrivain à l’oeuvre peut-il revêtir, quelle relation l’écrivain nourrit-il avec son oeuvre ou avec l’oeuvre en général ? C’est en s’appuyant sur le récit de fiction paru en Espagne depuis le XIXe siècle jusqu’à nos jours que les chercheurs et collaborateurs de la Nec+ tentent de répondre à ces questionnements, s’attachant à définir ainsi la figure de l’écrivain non pas en tant qu’auctor – l’auteur dont le nom est associé à l’oeuvre –, mais bien plutôt comme scriptor, cette personne qui matériellement écrit, écrivain-compositeur, parfois même simple copiste, copiste des autres, voire de lui-même, artiste-artisan.

         Azorín, Juan Goytisolo, Juan Marsé, José María Merino, Maruja Torres, Luis Landero, Rafael Chirbes, Arturo Pérez-Reverte, Salvador Gutiérrez Solís, Carmen Posadas, Alejandro López Andrada, Carlos Salem, Fernando Aramburu, César Muñoz Arconada, Jardiel Poncela, Andrés Neuman, Soledad Puértolas, Antonio Muñoz Molina, Ricardo Menéndez Salmón ou Javier Cercas figurent parmi les auteurs ici étudiés.
         Trois témoignages d’écrivains ou biographes espagnols contemporains, José María Merino, Luis Mateo Díez et Manuel Alberca, viennent compléter ces différentes analyses.