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  • Regards actuels sur...

    Prix 34,90 €

    S’interroger sur les regards actuels portés sur les régimes autoritaires dans le monde luso-hispanophone

  • Quand les oiseaux /...

    Prix 22,90 €

    L’Andalousie a toujours été une terre de poésie. En voici une nouvelle preuve avec ce recueil de poèmes que nous propose Rosa Romojaro, très justement récompensé par le XIV e Prix International Antonio Machado à Baeza (2010) et le Prix Andalousie de la Critique (2011). Nous en proposons une édition bilingue qui se veut transfert, à la fois libre et fidèle d’une langue à l’autre, créant ainsi une partition symétrique entre l’espagnol et le français. Quand les oiseaux ne fait pas partie de ces poésies intellectuelles quelque peu déshumanisées mais plutôt de ces poésies sensuelles, naturelles, tellement pures qu’elles en sont profondes, comme des pierres précieuses. C’est une poésie non pas sentimentale mais essentiellement sensuelle. Elle exprime une urgence vitale. Elle impose une urgence de lecture. On y parle du mot comme salut et récupération des choses dans le poème, et du mot comme réponse à l’appel du monde, mais aussi à son rejet. Poésie de liberté et d’oppression à la fois, symbolisée par les oiseaux, poésie du temps, dans l’éternel retour des saisons, pendant que la vie coule inexorablement vers sa fin.

  • Escribo y callo -...

    Prix 29,90 €

    ¿Quels sont les effets de l'après-guerre dans la vie poétique espagnole ?

    Comporte des textes en langue espagnole et d'autres en français.

  • Sociétés face à la...

    Prix 34,90 €

    Appréhender le terrorisme en  Espagne, Italie, RFA, Uruguay et  Royaume-Uni

  • Du pantin à l'hologramme

    Prix 29,90 €

    Le personnage désincarné sur la scène hispanophone contemporaine

  • CORRESPONDANCES DE...

    Prix 29,90 €

    A. Janquart-Thibault, C. Orsini-Saillet (Dirs.)

    Quoi de plus intime que l’échange de correspondance – amoureuse, amicale, familiale – entre deux personnes qui, précisément, correspondent entre elles parce qu’elles se correspondent ? 
    Il sera question ici de cela, de lettres rendues publiques pour diverses raisons, celles d’épistoliers célèbres (François Mitterrand, Emilia Pardo Bazán) ou anonymes (exilés de la guerre d’Espagne, prisonniers argentins…).
    Faute de conserver la parole intime de ces personnages illustres ou des anonymes, on a par ces correspondances le sentiment – l’illusion ? – de mieux les connaître. On sait ce qu’ils ont pu penser, ressentir, on assiste en différé à leurs coups de cœur, à leurs coups de gueule, à leurs espoirs ou à leurs désespoirs, ils deviennent soudain nos semblables. C’est ce rôle dévolu à la correspondance privée qui en a fait un ressort de la littérature, sous diverses modalités. Depuis l’essai, sous forme de lettres ouvertes, dont les Lettres persanes de Montesquieu et les Cartas marruecas de Cadalso sont sans doute les exemples les plus célèbres et que l’on retrouve à l’époque contemporaine dans les Cartas cabales de Tomás Segovia, jusqu’au roman épistolaire ou les faux recueils de lettres prétendument découvertes par hasard, les variantes sont quasiment inépuisables. On connaît mieux les utilisations romanesques de la correspondance, mais la poésie elle aussi peut revêtir la forme d’un échange de lettres. On retrouve enfin le motif de la correspondance là où on l’attendrait le moins, à savoir dans les arts visuels ou le 7ème art. 

    Auteurs : Á. Marín Canals, S. Crinquand, J. González de Canales Carcereny, A. Guillard,  F. Montiel Rayo, N. Noyaret, B. Riestra,  J. Rodrigues,  D. Thion Soriano-Mollá, X. Nogueira, C. Viñals.

  • DES GÉNICIDES DANS LE...

    Prix 29,90 €

    É. Lavaud-Fage, C. Orsini-Saillet (Coords.)

    Le XXe siècle espagnol et latino-américain a été marqué par l’instauration de dictatures militaires et par la mise en place de politiques répressives d’une singulière violence. C’est dans ce contexte que, depuis les années 1990-2000 surtout, surgit avec insistance le concept de génocide pour qualifier la barbarie des mesures punitives. Il faut certainement voir dans l’apparition de ce terme dans les aires géographiques de langue espagnole une influence du contexte international dans lequel se tiennent des débats sur l’Holocauste mais il est pourtant vrai que l’utilisation de ce terme ne va pas de soi. En ce qui concerne l’Espagne, par exemple, il s’applique à des politiques de destruction qui visent des groupes non pas ethniques ou religieux, mais politiques. Parfois même il ne s’agit pas de personnes, puisque l’expression de « génocide culturel » est utilisée par des historiens pour évoquer des régions comme la Catalogne ou la Galice dont la langue vernaculaire – entre autres ostracismes – a été proscrite sous le franquisme.
    Ce volume d’Hispanística XX se propose donc d’entrer dans ce débat polémique en essayant de comprendre les raisons qui font qu’il existe, plusieurs décennies après les faits, une demande sociale pour qualifier certains événements historiques de « génocide ».Après une nécessaire mise au point historique et juridique, il rend compte de témoignages et de représentations construites par le biais de l’historiographie, du cinéma, des arts graphiques et de la littérature.

    Auteurs : C. Boix, D. Casimiro, C. González Canalejo, S. Large, E. Larraz, É. Lavaud-Fage, E. Le Vagueresse, J. Marco, N. Narváez Bruneau, X. Nogueira, D. Novati, C. Orsini-Saillet, A. Palau, S.G.H. Roberts.