Tous nos livres
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Sabemos del agua por...
Prix 19,90 €par Luis Vicente de Aguinaga
En langue espagnole
Une approche de la poésie espagnole et latino-américaine contemporaine
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Las sombras del novelista
Prix 29,90 €Antonio J. Gil González (ed.)
L'autoreprésentation de l'auteur dans le roman espagnol contemporain.
Volume collectif.
En langue espagnole
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Imágenes conscientes
Prix 24,90 €Marta Álvarez (ed.)
Ouvrage collectif.
En langue espagnole.
La représentation de l'auteur dans les arts visuels.
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La poesía en su laberinto
Prix 24,90 €Laura Scarano (ed.)
L'autoreprésentation de l'auteur dans la poésie espagnole contemporaine.
Volume collectif.
En langue espagnole
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Ramón del Valle...
Prix 19,90 €par Jean-Marie Lavaud
Une lecture nouvelle et suggestive de la pièce du dramaturge espagnol Ramón del Valle-Inclán.
Ouvrage en langue espagnole.
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A revolución escrita:...
Prix 19,90 €par Óscar Freán Hernández
Une analyse de la presse ouvrière galicienne entre 1866 et 1936.
Ouvrage en langue galicienne
Préface de Gérard Brey.
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Juan José Millás:...
Prix 24,90 €Une approche métafictionnelle de l'œuvre du romancier espagnol Juan José Millás.
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Ergo sum: Blas de...
Prix 24,90 €Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contemporaine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.
On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977) et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.