Approches comparatistes intermédiales et interculturelles
Vingt-cinq ans de recherche interdisciplinaire au CELEC
Édition d'Évelyne Lloze et Emmanuel Marigno
Broché, 360 p.
Le présent ouvrage regroupe seize travaux relevant d’approches comparatistes, intermédiales et interculturelles, à l’image de l’identité scientifique de l’unité de recherche CELEC EA 3069 et de ses vingt-cinq ans de recherches interdisciplinaires.
Organisé en trois parties complémentaires, le livre s’ouvre sur des approches portant sur le texte littéraire – qu’il relève des aires francophones ou des langues étrangères – puis glisse, dans un deuxième temps, vers l’image fixe (gravure et peinture), mobile (cinéma) ou incarnée (spectacle vivant), avant, dans une troisième section, de replacer l’ensemble de la réflexion du côté de considérations « contextuelles », de nature historique ou sociolinguistique.
Chaque partie offre ainsi un regard, tout d’abord théorique, sur le champ concerné, puis des « applications » critiques qui illustrent, chacune à leur manière, le propos théorique initial, en proposant des inflexions et des ramifications plus précises, sur telle ou telle œuvre.
Fiche technique
- Nb de pages
- 360 p.
- Langue
- Français
- Collection
- Universitas
- Date de parution
- 23/01/2021
- Dimensions
- 14,5 x 21 cm
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À travers une perspective nécessairement pluridisciplinaire, les textes réunis dans cet ouvrage alimentent une réflexion sur la corrélation entre le drame humain, collectif ou individuel, qui se joue dans ces flux migratoires et leurs représentations iconographiques et textuelles, dans une immédiateté rendue possible par les moyens technologiques récents.
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Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contemporaine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.
On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977) et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.
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