![](https://editionsorbistertius.com/469-large_default/en-el-escritorio-de-emilia-pardo-bazan-la-tribuna.jpg)
En el escritorio de Emilia Pardo Bazán: La Tribuna
José Manuel González Herrán, Javier López Quintáns, Dolores Thion Soriano-Mollá (EDS.)
Prépa Concours
Neuf études sur La Tribuna d'Emilia Pardo Bazán : approches théoriques, entraînement à la composition, approches textuelles, extraits. Un outil précieux pour la préparation des concours, Capes et Agrégation d'espagnol.
Fiche technique
- Nb de pages
- 264
- Langue
- Français - Espagnol
- Collection
- Universitas
- Date de parution
- 02/08/2020
- Format
- Broché
- Genre
- Essai - Prépa Concours
16 autres titres de notre sélection :
-
Las sombras del novelistaPrix 29,90 €
Antonio J. Gil González (ed.)
L'autoreprésentation de l'auteur dans le roman espagnol contemporain.
Volume collectif.
En langue espagnole
-
-
-
La malcasada - Lope de...Prix 19,90 €
Édition de Christian Andrès
Texte présenté et annoté
En langue espagnole
-
-
Imágenes conscientesPrix 24,90 €
Marta Álvarez (ed.)
Ouvrage collectif.
En langue espagnole.
La représentation de l'auteur dans les arts visuels.
-
Ergo sum: Blas de...Prix 24,90 €
Laura SCARANO est professeure à l’Université de Mar del Plata (Argentine), chercheuse au CONICET, responsable du secteur de littérature espagnole du CELEHIS et présidente de l’Association Argentine d’Hispanistes. Spécialiste de poésie espagnole contemporaine, elle est l’auteure de plus de quinze ouvrages.
On a souvent perçu Blas de Otero comme un poète engagé, un témoin social, politique ou historique, parfois même marxiste, un antipoète. Il serait sans doute plus facile de le situer en tant que figure essentielle de la « poésie d’après-guerre » espagnole. Comment dans ce contexte Blas de Otero a-t-il été capable de se nommer et de parler de lui-même, malgré les baillons imposés, les préjugés et les censures, dans l’impersonnalité diffuse d’un moi lyrique, trait dominant dans la tradition moderne du genre ? Dans ce livre Laura Scarano tente d’apporter des éléments de réponse rigoureux et précis à cette question. Elle se livre pour cela à une étude attentive et minutieuse de la dernière partie de la production poétique de l’auteur, réunie sous le titre "Hojas de Madrid con la Galerna" ( les poèmes qu’Otero écrivit depuis son retour de Cuba en avril 1968 jusqu’à son dernier poème, deux avant sa mort en 1977) et nous révèle un portrait magistral et touchant à la fois du poète en forme autobiographie poétique.
-
-
IMAGES ET RÉCITS DE...Prix 31,90 €
I. CLERC, A.C. MOREL (dir.)
Les photographies des colonnes de migrants originaires d’Amérique centrale ou du Venezuela sont devenues emblématiques des déplacements massifs de populations que connaît l’Amérique latine depuis le début du XXIe siècle. En quelques années, ces migrations transcontinentales sont passées de la clandestinité plus ou moins organisée à une visibilité manifeste et parfois mise en scène. Les raisons de l’exil des individus et des exodes des populations sont pourtant semblables par bien des aspects à celles des siècles précédents. Mais la médiatisation de ces flux migratoires, leur mise en images et en récits qui informent la planète tout entière en l’invitant à assister quasiment en direct au déplacement de ces populations est inédite.
À travers une perspective nécessairement pluridisciplinaire, les textes réunis dans cet ouvrage alimentent une réflexion sur la corrélation entre le drame humain, collectif ou individuel, qui se joue dans ces flux migratoires et leurs représentations iconographiques et textuelles, dans une immédiateté rendue possible par les moyens technologiques récents.
-
-
-
-
TROIS TEMPS ET...Prix 26,00 €
M. V. Villaverde
Livre peu connu, si ce n’est inconnu, le texte de María Victoria Villaverde semble être resté hors-champ des livres sur la guerre civile espagnole. Hors-champ également des témoignages sur l’Espagne du xxe siècle racontés d’un point de vue enfantin. Enfants de la guerre, regards de femmes, Trois temps et l’espérance relève de ces catégories et d’une génération dans lesquelles María Victoria Villaverde côtoie Carmen Laforet ou Elena Quiroga, Carmen Martin Gaite ou Ana María Matute, toutes sont nées dans les années 20, et partage avec ces auteures l’ambition de raconter par le regard d’une petite fille, puis d’une adolescente et enfin d’une jeune femme, ces quelques années qui ont à jamais bouleversé l’Espagne et sa vie personnelle comme celles de millions d’Espagnols. Mais elle le fait depuis l’exil, depuis le militantisme et l’Argentine, distance qui offrait en 1962, date de publication de son livre, une liberté inimaginable pour les auteures et auteurs vivant en Espagne. Depuis cette autre rive, María Victoria Villaverde raconte donc le regard de la petite fille sur son monde familial puis, élargissant son angle de vue, sur les rites sociaux et les changements en cours dans sa petite ville natale, et lorsque tout son univers s’effondre, la jeune femme choisit finalement de fuir l’asphyxie de l’Espagne de l’après-guerre.
Trois temps et l’espérance est donc un va-et-vient entre la découverte déchirante du monde extérieur et le récit d’enfance, avec ses moments quasi obligés – histoire d’une famille, hétérodoxe et bourgeoise à la fois, portraits de parents, de tantes et de cousines, maisons immenses et protectrices, qui rapetissent à mesure que les enfants grandissent.
Introduction de M. Franco
Traduction, notes et postface de L. Freda -
D'ici ou d'ailleursPrix 31,90 €
Édition de Stéphane Oury et Gregoria Palomar
Être d’ici ou d’ailleurs… La double appartenance peut représenter une ouverture ou un déracinement, une démultipliée ou un frein, une synergie ou le risque de vivre à moitié… Cet ouvrage reprend les travaux d’un colloque qui a eu lieu à Metz en janvier 2019 et qui se proposait d’analyser comment les auteurs expriment ce sentiment de double appartenance, en étudiant différents aspects de cette hybridité linguistique et/ou culturelle. Les quinze textes ici rassemblés montrent comment la double appartenance peut être vécue comme un difficile « entre-deux », voire une déchirure, mais aussi être source de richesse et de multiculturalité.
La réflexion s’organise en trois axes, envisageant tout d’abord le rapport à une ou plusieurs langues et les mouvements entre ces différentes langues, puis les modalités d’expression des déchirures et du sentiment d’écartèlement identitaire provoqués par l’exil et enfin les formes d’hybridité nées des situations de double culture.
Autant de pistes de réflexion sur ce qu’est l’appartenance, sur son importance dans la construction d’une identité qui, dans un monde de plus en plus globalisé, devient multiple et hybride.
-
Escribo y callo -...Prix 29,90 €
¿Quels sont les effets de l'après-guerre dans la vie poétique espagnole ?
Comporte des textes en langue espagnole et d'autres en français.
-
Quand les oiseaux /...Prix 22,90 €
L’Andalousie a toujours été une terre de poésie. En voici une nouvelle preuve avec ce recueil de poèmes que nous propose Rosa Romojaro, très justement récompensé par le XIV e Prix International Antonio Machado à Baeza (2010) et le Prix Andalousie de la Critique (2011). Nous en proposons une édition bilingue qui se veut transfert, à la fois libre et fidèle d’une langue à l’autre, créant ainsi une partition symétrique entre l’espagnol et le français. Quand les oiseaux ne fait pas partie de ces poésies intellectuelles quelque peu déshumanisées mais plutôt de ces poésies sensuelles, naturelles, tellement pures qu’elles en sont profondes, comme des pierres précieuses. C’est une poésie non pas sentimentale mais essentiellement sensuelle. Elle exprime une urgence vitale. Elle impose une urgence de lecture. On y parle du mot comme salut et récupération des choses dans le poème, et du mot comme réponse à l’appel du monde, mais aussi à son rejet. Poésie de liberté et d’oppression à la fois, symbolisée par les oiseaux, poésie du temps, dans l’éternel retour des saisons, pendant que la vie coule inexorablement vers sa fin.